Droits de la communication, droits de l'homme, libertés fondamentales, Henri Oberdorff, Gérard Fellous, universalité, Roger Koudé, liberté, Nations Unies, Valérie Liechti, droit à l'éducation, Nolwen Henaff, Périne Brotcorne, Gérard Valenduc, Francis Jauréguiberry, technologies de communication, Anne-Marie Gingras, Dominique Cardon, Isabelle Compiègne, Laetitia Schweitzer, Philippe Aigrain, Serge Proulx, Anne Goldenberg
Selon Henri Oberdorff, deux paradoxes existent concernant les droits de l'homme et des libertés fondamentales. Le premier est la globalisation de sa reconnaissance en théorie, mais avec, dans le même temps, sa méconnaissance en pratique. Cette universalisation serait nécessaire, car l'objectif de la protection de ces droits est de lutter contre la tyrannie. Ces droits connaissent de plus en plus de sources (générales et spécifiques) et sont appliqués par de plus en plus de juridictions (nationales et supranationales). Le second paradoxe est de constater d'un côté qu'il y a de plus en plus de recours à ces droits de l'homme, mais pourtant une faiblesse quant à leurs applications. Ce trop-plein de droits qui existe dans l'ordre juridique a des effets pervers : tromper les citoyens, ne plus savoir ce qui est opposable et ce qui ne l'est pas. Pourtant, sans la reconnaissance de ces droits, on ne pourrait pas les revendiquer. Ainsi, ils ont tous pour avantage d'ouvrir la possibilité d'agir de manière individuelle.
[...] D'autres défis restent à relever : l'utilisation d'une approche transversale (qui implique l'élaboration de projets) et se pencher sur la problématique de l'autonomie des personnes. Jauréguiberry, Francis (2011). « Les théories sur le non-usage des technologies de communication » Contrairement au texte précédent, un long développement est consacré à l'étude sociologique des usages de la technologie étant précisé que cette problématique est apparue en même temps que la sociologie de la diffusion, établie comme un véritable objet d'étude. Cette dernière a parmi de classer les innovations technologiques, mais aussi celles des usagers. La catégorie de « non-usagers » se dégage par déduction. [...]
[...] De plus, ce serait imposer la nécessité pour les internautes de faire le tri dans toutes ces publications. L'auteur fait la distinction entre la prise de parole en public et l'espace public au travers d'un schéma des quatre formes de prise de parole en public. Ainsi, le « web participatif » est une forme de parole bien trop diversifiée pour être considéré à lui seul comme sphère publique. De plus, tout ce qui est sur internet n'est pas totalement public, il y a un certain degré de visibilité qui varie. [...]
[...] Par ailleurs, cette communication favorise l'affirmation des principes fondamentaux. En effet, les différentes communications pour le développement sont guidées par les droits de l'homme déjà reconnus, et permettent en contrepartie de les renforcer compris le principe d'égalité entre les sexes). Un autre principe cher à l'ONU peut aussi évoluer grâce à cette communication : » la durabilité de l'environnement ». Enfin, le développement des capacités est aussi une priorité pour l'ONU et ce la manière la plus efficace possible, une priorité davantage possible grâce aux communications. [...]
[...] Le premier ne traite de la question des inégalités sociales que de manière très subsidiaire et s'inscrit dans le cadre des développements des États membres de l'ONU. Le second traite beaucoup plus largement le thème des inégalités sociales et plus précisément scolaires. Enfin, le troisième se concentre sur celles des pays du sud. Section 3 Brotcorne, Périne et Gérard Valenduc (2009). « Les compétences numériques et les inégalités dans les usages d'internet » Cet extrait se penche sur la question des inégalités « des usages » d'internet, question plus récente et moins évidente que celle des inégalités « d'accès matériel » aux technologies. [...]
[...] De plus, cette question est intimement liée à la question de lutte contre la pauvreté. Car, l'éducation est le point pivot permettant de considérer un État comme développé ou non. Cependant, le système éducatif se voit limiter à plusieurs égards : son financement, mais aussi la définition de ce qui est un « juste » droit à l'éducation et ce qui ne l'est pas. Dans cette optique, des outils ont été mis en place notamment l'élaboration de tableau de bord dans le cadre de l'éducation au Burkina Faso. [...]
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