La liberté de conscience est l'exclusion, le refus de toute contrainte idéologique ou religieuse. Pas de religion obligée. Les derniers conflits récents concernant la question religieuse viennent des tentatives de pression de certains groupes religieux qui prétendent intervenir dans l'espace public pour obliger ou interdire. Ceci est une atteinte à la liberté de conscience.
Le principe d'égalité juridique exclut les privilèges, les avantages dont pourrait bénéficier une religion ou toute forme de croyance. Un individu ou un groupe ne peut pas s'arroger des privilèges par rapport à d'autre groupe. La neutralité de l'Etat est une garantie pour les confessions et les individus que l'Etat est impartial. Pour qu'elle soit mise en pratique, les conditions d'expression et d'exercice de la laïcité sont au nombre de 2 et posent des problèmes.
[...] Pas de religion obligée. Les derniers conflits récents concernant la question religieuse viennent des tentatives de pression de certains groupes religieux qui prétendent intervenir dans l'espace public pour obliger ou interdire. Ceci est une atteinte à la liberté de conscience. Le principe d'égalité juridique = ce principe exclut les privilèges, les avantages dont pourrait bénéficier une religion ou toute forme de croyance. Un individu ou un groupe ne peut pas s'arroger des privilèges par rapport à d'autre groupe. La neutralité de l'Etat = c'est une garantie pour les confessions et les individus que l'Etat est impartial. [...]
[...] 1er défi de la laïcité Aujourd'hui en France, environ 60% de Français se disent catholiques. Mais il y a aussi une communauté musulmane d'environ 5 millions de personnes, ce qui correspond à la plus grande communauté religieuse en France. Ceci pose 2 problèmes : La pratique de la religion = les français comprennent difficilement la Charria. Pour les Français, la religion est une affaire privée. Il y a une grande distinction entre public et privé dans la religion pour les Occidentaux. [...]
[...] Il y a une tendance à généraliser, on mélange tout et son contraire. On trouve dans le même sac des groupements inoffensifs et d'autres plus violents. Tout ceci aboutit à disqualifier des groupes et mouvements respectables, car aucun de ces rapports ne donne de définition fiable de ce qu'il faut entendre par secte. Pourtant il y a des critères : Un groupe ultraminoritaire Un groupe qui demande un engagement fort, exclusif de ses membres Il y a une clôture entre le groupe d'une part et le monde extérieur d'autre part Il y a une autorité spirituelle très forte Le prosélytisme parfois De plus ces critères sont inefficaces car dans tout groupe religieux quel qu'il soit, il y a toujours une tendance sectaire. [...]
[...] Les grandes religions défendent les sectes car elles veulent se protéger elles aussi. En France, il existe des mouvements laïcs qui ont depuis 1980, décidé de s'attaquer de front aux sectes. Ces associations militantes ont un écho très large au parlement notamment à l'Assemblée nationale ou se créent des commissions d'enquête sur le thème des sectes. A la suite du rapport Guyane, Juppé, 1er ministre à l'époque, met en place en 1996 un observatoire interministériel des sectes qui devient en 1998 une mission interministérielle de lutte contre les sectes et en 2002 devient la MIVLDS. [...]
[...] Il fallait prévoir un centre de formation capable de former les Imams en nombre suffisant. Mais faute d'accord, c'est l'institut catholique de Paris qui va en partie former les imams. En ce qui concerne la construction de mosquées qui est très demandée, il y a beaucoup de rapports mais pas beaucoup d'avancées. 2e défi de la laïcité Il s'agit des nouvelles expressions religieuses appelées par les médias sectes ou mouvements nouveaux religieux. En France, le terme de secte a une connotation péjorative. Les sectes sont le résultat de cette désaffection générale des grandes religions. [...]
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