Dans notre société actuelle, le droit est omniprésent. Il parvient à se manifester grâce à des signes, ou des règles qui nous entourent un peu plus chaque jour. Que se soit dans notre vie personnelle ou bien dans notre vie professionnelle, comme un simple contrat de travail. Il nous apparaît comme légitime donc, de s'investir dans la vie politique, qui nous impose des règles et réglemente notre vie quotidienne. Cependant, la population actuelle, partie prenante de la vie politique, n'hésite en aucun cas à faire valoir son droit d'opposition lors des référendums ou toutes autres manières d'expressions disponibles pour le peuple comme les manifestations.
La résistance, ou bien appelée l'opposition, permet pour les citoyens de faire valoir ses droits. Le fait de se révolter peut comporter des définitions bien différentes les unes des autres. En effet, certains peuvent y voir par là, une révolte physique et d'autres y voient simplement un acte moralisateur. Que ce soit pacifiste ou provocateur.
Des révoltes fusent de partout dans cette société primant la liberté d'expression. Ainsi diverses raisons peuvent engendrer ce genre de comportement. L'une des plus évidentes, ou du moins des plus courantes, est celle de l'opposition face à une vision politique différente de la sienne. Il est clair que les citoyens s'investissant énormément dans la politique de leur pays n'hésitent pas à montrer leur investissement personnel. Ainsi les règles de droit jugeant de nos faits et gestes se trouvent parfois elles aussi jugées face à sa propre population.
Le fait de se révolter contre une loi est légitime et propre à la conscience de l'individu concerné, mais le fait de se révolter face à une loi qui parait injuste est une autre chose. Il apparait comme évident de délimiter la notion du juste et de l'injuste, surtout si cesdites lois injustes se trouvent fondées.
Dans ce cas, la résistance à la règle de droit injuste est-elle légitime ? Les intérêts d'un tel sujet sont les questions qu'il relève comme la légitimité de se révolter, ou encore le fait de suivre des règles sans questionnement. Une résistance inclue-t-elle forcement de la violence ? Et est-ce réellement illégal de se révolter même s'il s'agit de droit injuste ?
[...] Il apparait comme évident de délimiter la notion du juste et de l'injuste, surtout si cesdites lois injustes se trouvent fondées. Dans ce cas, la résistance à la règle de droit injuste est-elle légitime ? Les intérêts d'un tel sujet sont les questions qu'il relève comme la légitimité de se révolter, ou encore le fait de suivre des règles sans questionnement. Une résistance inclue-t-elle forcement de la violence ? Et est-ce réellement illégal de se révolter même s'il s'agit de droit injuste ? [...]
[...] Effectivement à l'époque ce qui était important c'était de ne pas montrer que la violence était nécessaire à la révolte. Cependant, le contraire est de mise dorénavant. Le problème reste que la violence s'est régularisée et qu'elle est devenue complètement anodine. Aujourd'hui ça ne choque plus personne que des morts soient engendrés par la violence quotidienne, elle s'est même vulgarisée. Le changement de ces dernières années est l'évolution probante des résistances et de la violence de la population aux lois imposées par l'état. [...]
[...] Peu importe que la règle de droit soit conforme ou pas à un idéal supérieur, qu'elle soit juste, ou ce que comporte son contenu. L'obéissance au droit et à la loi est due pour la seule raison que la loi existe. On lui obéit donc juste parce que c'est la loi. Tout ce qui compte c'est que la règle soit édictée par l'autorité compétente, et par une procédure régulière. Mais elle ne permet pas d'accepter la règle dans son fond, donc sur la légitimité. [...]
[...] Sanctions Lors de résistances violentes, l'état sanctionne lourdement les auteurs de violation à la règle de droit. Pour que ces sanctions pénales soient appliquées, il est nécessaire que la violation sanctionnée soit déjà prévue par la loi. Donc qu'elle ait été érigée en infraction par la loi. La loi ne qualifie d'infraction que les comportements qui portent atteinte à l'intérêt général. Trois grands types de sanctions pénales existent : - les peines contraventionnelles, qui sont des peines d'amendes et parfois de prison. [...]
[...] Nous exprimons une résistance lorsqu'il nous semble apercevoir une injustice quelconque. C'est un sentiment de révolte intérieure. Se révolter peut avoir différents sens, si on le fait violemment ou pacifiquement. Dans toutes les manières, éprouver une résistance est légitime car l'homme ne conçoit pas l'injustice De plus, dans les sociétés contemporaines, les manifestations de nos colères s'expriment plus facilement ou du moins plus librement qu'auparavant. Mais ces résistances ont forcement des conséquences sur les sociétés ou bien les individus Une légitimité Le droit injuste Le droit dit injuste est un droit qui peut, par exemple avoir un certain pouvoir simplement parce qu'il émane de la loi. [...]
Bibliographie, normes APA
Citez le doc consultéLecture en ligne
et sans publicité !Contenu vérifié
par notre comité de lecture