La peine de mort continue d'exister et de perdurer dans encore de nombreux pays et d'états. Si la France, elle, est épargnée depuis le 30 septembre 1981, des pays dits démocratiques comme les États-Unis commettent encore plus de 60 exécutions par an. Certes, rien de comparable à des nations sous dictature comme la Chine qui s'autorise chaque année à ôter la vie à plus de 1 500 personnes. Cette peine capitale est pointée du doigt et certains points sont à éclaircir quant à sa moralité, son utilité et sa justice.
En premier lieu la peine de mort est immorale ; elle bafoue les principes de la justice en se rendant elle-même coupable. En utilisant la loi du Talion « œil pour œil, dent pour dent » on se replonge dans une époque révolue depuis maintenant trop longtemps pour accorder un quelconque crédit aux lois mises en vigueur à cette période. Dans ce cas, la justice oublie la raison et laisse uniquement libre cours à son instinct de vengeance et de revanche. Car si le tribunal lui-même n'est pas capable de faire appel à sa sagesse, qu'en est-il de tous ces citoyens ? La justice doit être la première forme d'impartialité, d'intégrité et de discernement présente dans un pays pour que tous ses habitants puissent suivre le même exemple.
[...] Rien ne lui semble plus porter une quelconque importance. Il est là, à marcher dans une direction dont il connait la destination. Mais que peut-il faire ? C'est implacable : il va mourir. Un sursaut de survie l'agite, il se débat, il pleure, il crie, il implore Dieu sans même y croire. Il ne sait plus ce qu'il est ni ce qu'il fait mais il est encore là. Plus pour longtemps. Il s'assoit. On l'attache. Encore des cris, et des pleurs. [...]
[...] Par la suite, la peine de mort est inutile. Il faut souligner que la peine de mort est une solution de facilité pour la société, il est plus facile de tuer les condamnés sans prendre en compte les conséquences que de chercher à sécuriser les prisons. Car l'argument principal des défenseurs de la peine de mort est bien celui-ci : La peine de mort empêche la récidive et les évasions. Irréfutable n'est-ce pas ? Oui c'est sûr . Mais de ce point de vue, autant tuer tous les voleurs, les maris infidèles, les pédophiles, les violeurs. [...]
[...] Après avoir démontré de a à z que la peine de mort était désormais obsolète et d'autant plus démodée je peux affirmer que la peine de mort doit être définitivement abolie. Les États-Unis sont un des derniers pays démocrates pratiquant encore la peine de mort mais quand tous les comtés d'Amérique auront franchi ce cap, la peine capitale ne sera plus qu'un mauvais souvenir. La peine de mort ne doit plus exister aujourd'hui, elle est barbare dans des pays qui se disent modernes et je pense que c'est une des premières formes de conflits qui doit donc à présent disparaître. [...]
[...] A l'intérieur, il apprend le jardinage et devient le jardinier officiel de la prison Oukacha. Le voilà libre en 2006. Bénéficiant d'appuis financiers de quelques philanthropes il créa son propre commerce de jardinage. Voici un exemple fort de réinsertion sociale qui prouve qu'un ancien prisonnier n'est pas inutile et qu'il peut encore offrir à la société. La peine de mort quant à elle se serait contentée de rendre ce qu'il a donné sans réellement penser à ce qu'il pouvait fournir. [...]
[...] Faut-il abolir définitivement la peine de mort ? La peine de mort continue d'exister et de perdurer dans encore de nombreux pays et d'états. Si la France, elle, est épargnée depuis le 30 septembre 1981, des pays dits démocratiques comme les États-Unis commettent encore plus de 60 exécutions par an. Certes, rien de comparable à des nations sous dictature comme la Chine qui s'autorise chaque année à ôter la vie à plus de 1500 personnes. Cette peine capitale est pointée du doigt et certains points sont à éclaircir quant à sa moralité, son utilité et sa justice. [...]
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