Droit, libertés publiques, liberté individuelle, droits fondamentaux, droit français applicable, droit libanais, libertés civiles, enjeu politique, libéralisme, démocratie, ONU Organisation des Nations Unies, liberté de propriété, droit constitutionnel, droit civil, discrimination, procès équitable, religion, pouvoir public, DDHC Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, universalisme, relativisme, culture, droit des animaux, droits subjectifs, droit continental, conseil constitutionnel, jurisprudence, décision du 22 janvier 1990, idées des Lumières, génération de droits, droits et devoirs, fascisme
La majorité des pays du monde sont dans des régimes répressifs, qui priment la liberté d'expression et de croyance. L'image est plus inquiétante en ce qui concerne les pays libéraux /démocratiques (Amérique du Nord, Océanie, Inde, Europe) : le libéralisme est menacé par les transformations keynésiennes. À l'intérieur même de ces démocraties libérales d'aujourd'hui, la menace des biens et des libertés est de plus en plus forte. Aujourd'hui le programme d'une partie de la droite extrême en Europe équivaut à une suspension partielle de droits et libertés de citoyens.
Dans le monde entier, la doctrine du libéralisme politique qui a porté depuis 3 siècles la philosophie des droits et libertés est en combat. Le libéralisme est attaqué partout dans le cas du libéralisme autoritaire.
[...] Est-ce que ces derniers ont-ils des droits fondamentaux et des libertés protégés par le juge ? La réponse est sûrement positive, cette revendication pour les animaux porteurs de droits est ancienne, au 20e siècle, avec antispécisme, les animaux sont protégés par le droit objectif, mais on ne les considère pas encore comme des sujets de droit, le droit français considère encore les animaux comme des biens. Les droits fondamentaux C'est une approche fondamentale, les droits vont être à la racine des autres branches du droit. [...]
[...] Libertés publiques et droits fondamentaux - Droit français et libanais Introduction : Le XXIe siècle, les libertés menacées. Droits et libertés : quelles différences ? Questions terminologiques ou de fond ? Droits de l'homme, libertés civiles, droits fondamentaux Droits-libertés et droits-revendications : les limites d'une distinction. Des droits sans devoirs ? Les enjeux politiques d'un vieux débat La majorité des pays du monde sont dans des régimes répressifs, qui priment la liberté d'expression et de croyance. L'image est plus inquiétante en ce qui concerne les pays libéraux /démocratiques (Amérique du Nord, Océanie, Inde, Europe) : le libéralisme est menacé par les transformations keynésiennes. [...]
[...] C'est un ensemble de choix de politique publique qui sont liés à la réalisation des droits -créances. Donc forcément ces droits sont beaucoup plus complexes à mettre en œuvre que les droits-libertés. Les droits-créance sont liés au développement de l'État, plus ce dernier est fort et légitime, plus ces droits ont un potentiel de réalisation plus grand. Quel est le statut de l'État aujourd'hui dans le monde, est-ce que l`État dans le monde bénéficie d'une légitimée d'intervention forte ou faible ? [...]
[...] Les droits fondamentaux, théoriquement ça commence par les décisions du Conseil constitutionnel français en 1971, on passe à la protection supralégislative par le juge. Mais il faut remarquer qu'a aucun moment en France, que c'est le juge lui-même, malgré la volonté des pouvoirs politiques, c'est le juge lui-même qui a arraché à la classe politique française le passage au régime des droits fondamentaux à travers sa décision de 1971, aussi par la suite avec une série de décision du Conseil constitutionnel et du Conseil d'État et de la Cour de cassation qui vont passer à un régime où désormais la déclaration de 1789 fait partie du globe de constitutionnalité. [...]
[...] La privatisation passive (depuis 2 ans) joue en faveur des droits-libertés et contre les droits- créances. Mais aussi, une autre raison de plus c'est de souligner que dans un monde libéral les droits et les libertés sont beaucoup plus faciles à protéger et donc beaucoup plus solides, car l'État doit se contenter de ne pas intervenir dans la sphère d'autonomie des individus, donc il s'agit juste de tracer une frontière autour des individus et des groupes et de la garantir , c'est relativement facile .Les droits-créances sont beaucoup plus complexes , donnons l'exemple de l'éducation , il faut se poser la question de quel type d'enseignent faut-il instituer ? [...]
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