ordonnance Commune de Chirongui, juge des référés du Conseil d'Etat, voie de fait, article L521-2 du Code de justice administrative, condition d'urgence, liberté fondamentale, respect du droit, atteinte grave aux libertés fondamentales, suspension d'une décision administrative
Il s'agit d'une proposition de problématique et de plan détaillé pour un commentaire de l'ordonnance du 23 janvier 2013 du Conseil d'État, Commune de Chirongui.
[...] La compétence logique du juge administratif des référés La compétence du juge administratif des référés en matière de suspension d'une décision administrative et de protection des libertés fondamentales ; La compétence du juge administratif des référés en matière de voie de fait : l'urgence chasse la compétence du juge judiciaire ; La compétence du juge judiciaire en matière de litiges relatifs aux servitudes et de réparation des dommages causés par des travaux réalisés en violation de celles-ci ; Garanties non juridictionnelles de sauvegarde du droit de propriété : la concertation et la participation citoyenne, l'information du propriétaire, la négociation avec le propriétaire, les mécanismes de médiation, les mesures de compensation du propriétaire. [...]
[...] 521-2 du code de justice administrative ; L'appel de l'ordonnance du juge des référés : une possibilité pour suspendre son exécution ; L'ordonnance du juge des référés ne préjuge pas de la solution au fond du litige B. Les critères de l'ordonnance du juge des référés Les critères à remplir pour qu'une ordonnance du juge des référés soit valable ; L'appréciation rigoureuse des moyens soulevés pour établir un doute sérieux quant à la légalité des travaux ; L'ordonnance du juge des référés n'a pas de caractère définitif, elle peut être modifiée ou annulée à tout moment II. La voie de fait et la compétence du juge administratif des référés A. [...]
[...] Conseil d'État, ordonnance du 23 janvier 2013 - Commune de Chirongui - Plan détaillé Problématique Dans quelle mesure le juge des référés peut-il ordonner des mesures visant à faire cesser une voie de fait au titre de l'article L. 521-2 du code de justice administrative lorsque la condition d'urgence est remplie et qu'une personne morale de droit public a porté une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale, alors que la propriété de la parcelle en cause est revendiquée par une tierce personne et que les travaux contestés ont débuté à l'issue d'une procédure de discussion et de négociation préalable ? [...]
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