Physiocrate, suppression de la vaine pâture, vaine pâture, terres vaines, terres vagues, terres non cultivées, agriculture, réglementation restrictive, paysans, municipalité, droit d'usage, exploitation de la terre, production de richesses, fonction sociale, fonction économique
Je considère que l'État n'a pas à intervenir dans les choix économiques qu'ont à faire les paysans. Il existe des lois économiques naturelles qui s'imposent à tous, je défends le principe du « laisser faire, laisser passer ».
La vaine pâture constitue l'ensemble des terres vaines et vagues, non cultivées, utilisées par les paysans pour laisser paître leur bétail. Comme je l'ai dit, ce sont des terres non cultivées, donc dès lors, il en résulte une perte de surface qui pourrait et doit être utile à l'agriculture.
[...] Vous êtes physiocrate et vous défendez la nécessaire suppression de la vaine pâture Nos critiques de la vaine pâture Je considère que l'État n'a pas à intervenir dans les choix économiques qu'ont à faire les paysans. Il existe des lois économiques naturelles qui s'imposent à tous, je défends le principe du « laisser faire, laisser passer ». La vaine pâture constitue l'ensemble des terres vaines et vagues, non cultivées, utilisées par les paysans pour laisser paître leur bétail. Comme je l'ai dit ce sont des terres non cultivées ; dès lors, il en résulte une perte de surface qui pourrait et doit être utile à l'agriculture. [...]
[...] Enfin, la suppression de la vaine pâture a une fonction sociale, puisqu'elle permettra d'éviter les règlements de compte et les contentieux entre les propriétaires des vaines pâtures qui ne les exploitent pas et les paysans s'introduisant sur celles-ci, d'autant que les paysans auront la possibilité de racheter ses terres qui ne sont pas exploitées et d'y mettre des clôtures pour faire valoir qu'ils en sont propriétaires. Par conséquent, la terre ne pourra être entretenue que si nous mettons en place un système permettant d'acheter ces vaines pâtures par des paysans qui seront motivés et qui auront l'obligation de les utiliser à des fins agricoles. [...]
[...] Dès lors, je considère que nous devons faire en sorte que chaque terre qui existe doit être utilisée de la meilleure des manières ; c'est pourquoi je pense qu'il ne doit plus y avoir de terres dénuées de propriétaires, puisque ces terres dénuées de propriétaires font que ceux qui les exploitent n'en prennent pas soin. Par conséquent, la terre ne pourra être entretenue que si nous mettons en place un système permettant d'acheter ces vaines pâtures par des paysans qui seront motivés et qui auront l'obligation de les utiliser à des fins agricoles. Nous considérons que la meilleure façon de maximiser les richesses est de laisser chacun agir à sa guise selon ses moyens. [...]
[...] Les retombées de la suppression de la vaine pâture Ainsi, d'une part l'exploitation devra être agricole, car je pense que c'est l'un des seuls secteurs qui permet à la fois de nourrir tous les individus et de renforcer les liens entre les individus par sa fonction sociale, du fait que c'est un secteur qui engage la vie de toute une personne. D'autre part si l'on veut réaliser correctement ce modèle, il s'en suit qu'il faut absolument que la terre soit exploitée par un propriétaire qui en prend soin. Dès lors, nous pensons à mettre en place une prescription extinctive de 6 mois, c'est-à-dire que la propriété qu'auront les propriétaires de ces anciennes vaines pâtures devra se traduire par un droit d'usage pouvant se perdre facilement. [...]
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