La société d'Ancien régime est une société bloquée du fait de la division de la population en ordres. La population est répartit selon son niveau social. Les trois ordres correspondant au clergé, à la noblesse et au tiers état, sont inégalitaires. Cette situation va notamment provoquer un mécontentement des bourgeois qui veulent quitter le tiers état. Dans cette société, le roi a tous les pouvoirs, il décide de tout.
Un pluralisme juridique s'est opéré lors du passage de la dynastie carolingienne à la dynastie capétienne. Cette tendance va subsister jusqu'en 1789. Il se caractérise par l'existence d'un certain nombre de droits privés, de privilèges. Sur un même territoire, les individus ne sont pas soumis aux mêmes règles.
La société d'ancien régime, une société bloquée ?
[...] Une partie de la bourgeoisie a connu une paupérisation. De plus, le monde ouvrier qui a des conditions de vie difficiles, subit les inégalités. Enfin le bas clergé ne peut plus rêver d'être évêque. Le nombre de personnes, à qui le maintien du système serait favorable, baisse. Ces circonstances vont donc engendrer un soulèvement de la population qui n'arrive pas à s'enrichir. [...]
[...] La société d'ancien régime, une société bloquée ? Un pluralisme juridique s'est opéré lors du passage de la dynastie carolingienne à la dynastie capétienne. Cette tendance va subsister jusqu'en 1789. Il se caractérise par l'existence d'un certain nombre de droits privés, de privilèges. Sur un même territoire, les individus ne sont pas soumis aux mêmes règles. La société d'ancien régime, une société bloquée ? Dans un premier temps, nous verrons les privilèges des ordres de l'ancien empire, puis, dans un second temps, nous étudierons le pouvoir du roi sur le peuple ainsi que les transformations économiques et sociales de cette période. [...]
[...] La société d'ancien régime est une société bloquée du fait de la division de la population en ordres. La population est répartie selon son niveau social. Les trois ordres correspondants au clergé, à la noblesse et au tiers état, sont inégalitaires. Cette situation va notamment provoquer un mécontentement des bourgeois qui veulent quitter le tiers état. Dans cette société, le roi a tous les pouvoirs, il décide de tout. Le développement de la production n'a pas permis une augmentation des salaires, ce qui engendre un appauvrissement considérable et la colère de la noblesse. [...]
[...] Le roi va prendre quelques mesures qui ne changeront rien. Il va adopter quelques ordonnances, des édits pour autoriser des nobles à exercer certains métiers sans pour autant déroger à leur statut (maitre de verrerie, forge Toutefois, ces dérogations ne changeront rien au problème, la noblesse reste coupée du bénéfice de l'expansion de l'économie. La dégradation économique et sociale de la noblesse est inévitable. La petite bourgeoisie, elle, est composée pour l'essentiel d'artisans, de boutiquiers, des maitres des différentes corporations (le petit patronat). [...]
[...] Tout d'abord, le clergé dispose d'un droit propre, le droit canonique, mais aussi de juridictions particulières. De plus, le clergé est exempté d'impôts. En contrepartie, le clergé doit prier les Dieux pour le salut de l'ensemble des sujets du Royaume, mais il doit aussi assumer la charge d'assistance aux pauvres, c'est lui qui dirige les hôpitaux de l'époque, c'est aussi le clergé qui assume l'éducation des enfants. De plus, le clergé doit verser au Roi, le don gratuit. Enfin, les membres du clergé devaient respecter les termes de leur serment (pauvreté, chasteté et célibat). [...]
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