Dominat, Principat, institutions royales, droit prétorien, droit archaïque, Empire romain, Minoens, Mycéniens, Grèce archaïque, royautés doriennes, Solon, Grèce, démocratie athénienne, coutume, religion, Dioclétien, néolithique, civilisation gravettienne, Chalcolithique, Mésopotamie, Pharaon, Égypte ancienne, Hittite, droit impérial
Ce document contient des argumentaires pour 28 sujets d'examen en histoire des institutions de l'Antiquité. Chaque problématique est associée à une introduction et à un plan détaillé. Ces deux éléments peuvent être utilisés lors de la présentation de l'examen oral.
[...] D'autres historiens ont cependant apporté des versions alternatives. Cependant, on peut citer parmi ces commentateurs, l'historien du XIXème siècle Mommsen, qui émet l'hypothèse que « la tradition antique a pu se construire à partir de faits réels mais projetés sur un passé lointain et transformés en mythes ». Cependant, les historiens nous délivrent tout de même des informations quant aux institutions et à la manière dont la cité romaine fut créée. Selon toute vraisemblance, le lieu de création de la ville proche du Mont Palatin, était cependant déjà peuplé avant la création officielle de la ville. [...]
[...] Nous commencerons par répondre à cette question en nous intéressant à la structure de sa société extrêmement hiérarchisée et dans un second temps, nous verrons que sa justice s'applique sur l'ensemble de son territoire par des juges et pour les procès les plus importants par les pharaons, avec la volonté de faire respecter la justice de Maât à la fois équitable entre tous mais sèvère par ses châtiments. Une société marquée hiérarchiquement . L'Egypte antique est connue pour être une société très hiérarchisée. Nous l'avons vu dans les thèmes précédents : le pharaon et le vizir se situent au sommet de cette échelle sociale. [...]
[...] Aussi, cette période marque la naissance de deux caractéristiques majeures de la doctrine juridique romaine républicaine : l'abstraction et l'échange permanent entre théorie et pratique. Les jurisconsultes romains ont développé des règles abstraites à partir de cas d'espèce et ont cherché des solutions pratiques et applicables. Le droit impérial : le Principat Le Principat (équivalent du terme Empire) a été instauré par Auguste et a marqué un tournant dans l'histoire de l'Empire romain. Ce régime politique mis en place dès la nomination d'Auguste par le Sénat à partir de 27 av. J.-C. [...]
[...] On y apprend de nombreuses informations qui nous permettent de mieux comprendre la formation du droit et de la justice à cette époque, son organisation et ses fonctions. Dès lors, en nous appuyant sur les observations de cet ouvrage et sur les éléments provenant du cours, nous nous poserons la question suivante : Comment le droit et la justice se sont-ils structurés en Mésopotamie ancienne et à quels besoins répondaient-il ? Nous verrons avant tout que la justice est une prérogative royale dont le pouvoir était réparti entre différents dignitaires de la société pour la faire respecter et dans un second temps, nous verrons que le droit en place avait avant tout pour but de réglementer et d'organiser la vie en société. [...]
[...] Dans un premier temps, nous verrons qu'il s'agit d'un droit inspiré par la coutume et qui était imprégné par le religieux sous la Monarchie, qui progressivement a évolué vers un droit relativement plus structuré, à l'image des institutions de la République. Un droit issu de la coutume imprégné du religieux La période archaïque du droit romain se caractérise par l'absence de distinction claire entre le ius et le fas, où le droit est fortement lié à la religion. La coutume est la principale source du droit. Cette coutume décrit les mœurs des habitants de Rome et sous la Monarchie, les lois des rois romains correspondent à cette transcription des coutumes. [...]
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