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Parmi les juristes, depuis des siècles, on s'interroge sur cette matière, faculté des sciences juridiques, par exemple à Toulouse. Ainsi certains considèrent que le droit a toujours était une science, mais c'est une vision récente.
Chez les Romains il y avait un auteur, Clese, qui définissait le droit comme l'art du juste et du bon.
Ainsi, l'approche est différente ; si l'on considère que c'est une science, c'est probablement par son côté rigoureux, nous devons mettre en ordre la société, avec des règles, on a une majeure, une mineure et une solution ; quelque chose de mathématique.
Mais même si on arrive à coordonner des connaissances de manière stricte, ordonnée, le droit c'est plus que cela, où d'autres facteurs sont pris en compte.
[...] Mais, il n'empêche pas d'y avoir, une science du droit. Certains théoriciens du droit ont essayé de construire une sorte de science de droit : Kelsen, qui essaye de mettre en place une logique générale, un discours du droit. On peut considérer que le droit est une technique, qui encadre les décisions des acteurs du droit, et que ces contraintes obligent à avoir un grade science/connaissance du droit ; les contraintes de procédure, les délais pour agir, une connaissance de l'argumentation. [...]
[...] Ensuite la séparation qui va se faire autour du 5e siècle av. J.-C. entre le religieux qui reste l'affaire de la religion et le droit laïque. Dans le droit hébraïque, on va trouver dans l'Ancien Testament et en Europe on trouve dans leur législation des interdictions liées à leur religion ; le blasphème au RU jusqu'en 2008 pouvait être sanctionné. Les Pays-Bas ont encore un article sur le blasphème dans leur code pénal, un blasphème avec un trouble à l'ordre public. [...]
[...] Définitions -Le droit : Girard définit le droit en disant que c'est l'ensemble des règles imposées par une contrainte extérieure, qui régisse les rapports des hommes entre eux. La règle de droit est une expression qui date du début du 2e siècle qui a tendance à être remplacé par le terme de norme, la règle est un objet de droit qui ne peut pas se tordre, elle est droite et impérative alors que la norme est un modèle avec des degrés possibles. (Par définition le droit est une contrainte). L'idée de droit est indissociable de l'idée de règle. [...]
[...] L'exemple de l'obligation alimentaire également. -Différence entre droit public et droit privé : Gaius juriste romain de la fin du 2e il va distinguer entre un « jusprivatum » et « juspublicum ». Cette distinction dans le droit romain apparaît donc Yulpin écrit « le droit public est ce qui touche à l'organisation de l'Etat, le droit privé est ce qui a trait aux intérêts des particuliers ». Cette conception qu'il existe une différence entre le droit spécifique à l'état et le droit ordinaire. [...]
[...] Quelle est la nature du droit ? Parmi les juristes depuis des siècles, on s'interroge sur cette matière de faculté des sciences juridiques par exemple à Toulouse. Ainsi certains considèrent que le droit a toujours était une science, mais c'est une vision récente. Chez les Romains il y avait un auteur Clese qui définissait le droit comme l'art du juste et du bon. Ainsi, l'approche est différente ; si l'on considère que c'est une science, c'est probablement par son côté rigoureux, nous devons mettre en ordre la société, avec des règles, on a une majeure, une mineure et une solution ; quelque chose de mathématique. [...]
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