Commentaire du rescrit, c'est-à-dire la réponse de l'empereur romain aux questions de droit sur lesquelles il était consulté, de Constantin limitant la liberté du divorce en 331 après J-C.
[...] Rescrit de Constantin limitant la liberté du divorce (331 après L'empereur Constantin, Auguste, à Ablavius, préfet du prétoire Code Théodosien Selon l'évangile de Marc ce que dieu a uni, l'homme ne doit pas le séparer cela montre que la rupture du lien matrimonial est contraire à la religion chrétienne. Le rescrit c'est à dire la réponse d'un empereur romain aux questions de droit sur lesquelles il était consulté par les magistrats ou les gouverneurs de province, dans ce texte ci contre, il est montré un rescrit de Constantin limitant avant tout la dissolution du lien matrimonial. [...]
[...] Cette doctrine a eu un impact sur la question de la formation et dissolution du mariage. Quelles sont les causes de dissolution du lien matrimonial admise dans la région chrétienne? Il convient de voir la dissolution du lien matrimonial, constituée d'une réglementation très stricte pour la femme puis, la rupture du lien matrimonial pour l'homme (II). La dissolution du lien matrimonial, une réglementation très stricte pour la femme: L'église a posé en principe l'indissolubilité de l'union par rapport à la tradition romaine. [...]
[...] Si la femme déclare que son mari est buveur ou s'abandonne à la luxure, il ne pourra être répudié pour ces motifs, mais seulement si elle établit qu'il est coupable d'homicide, de maléfice, de violation de sépulture. S'il est convaincu de l'un de ces crimes, il pourra à bon droit être répudié et cela sans qu'il y ait de faute imputable à la femme. Constantin a donc adopté une réglementation très stricte. La femme a la possibilité de divorcer quand le mari est coupable d'empoissonnement, violer une sépulture, coupable d'homicide. [...]
[...] La conséquence du divorce: La femme reprendra sa dot si un des trois cas précédent est relevé. En effet si la femme ne peut pas faire la preuve de l'un de ces crimes, elle sera punie de la perte de la dot qu'elle avait apportée ou qui avait été constituée pour elle ainsi que de la privation de la donation qu'elle avait reçue, elle sera en outre frappée de la relégation de l'exil. De plus, le divorce est fait pour d'autres causes, il n'est pas nul, il rompt l'union mais la rupture a des conséquences graves pour celui qui l'a initié. [...]
[...] La Conséquence d'une rupture: Si l'homme n'a pas apporté la preuve que la femme était capable d'adultère, coupable de maléfice ou entremetteuse. (Et qu'il la répudie cependant), il devra rendre la dot à la femme et lui sera interdit de se remarier. S'il a l'audace de le faire, la (première) femme sera autorisée à réclamer pour elle. Même la maison et les biens de son ex-mari. On constate également que cela été décidé pour que la femme injustement répudiée, soit habilitée à acquérir même la dot de la seconde épouse. [...]
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