Les Lois, livre II, Platon, Apollon, éducation des citoyens, satisfaire ses besoins, réflexions, importance des fêtes, espèce humaine, Oscar Wilde, conscience des conséquences, animal, Bacchus, travail
Ce texte est un extrait des lois de Platon tiré de son deuxième livre. Ces lois ont été créées pour éduquer les citoyens à devenir l'élite de la citée grâce à l'éducation. Platon vise dans ce projet, la meilleure constitution possible pour la cité en ayant comme modèle, le bien selon les dieux grecs. Mais durant ce temps-là, la jeunesse de l'époque est portée à l'agitation. Comment doit-on réagir à ces agitations ? Doit-on en discuter ? Où doit-on les sanctionner ? L'être humain est-il capable en général de comprendre par une explication ou doit-il faire une erreur pour comprendre les conséquences que celle-ci a ? La punition est-elle vraiment efficace ? Ou incite-t-elle, selon l'individu, à recommencer l'erreur, jusqu'à que celui-ci soit confronté à la plus grande conséquence de l'erreur qu'il a reproduite ?
[...] Comme si, la fête, s'amuser, danser était des péchés qu'ils allaient pardonner du fait que ces amusements sont à l'origine de, je cite, « pertes de notre éducation. » Ces fêtes sont nécessaires pour l'humain. Il donne l'impression de vouloir oublier un malheur qu'il subit. Mais alors, l'humain noie-t-il son chagrin dans ces fêtes ?? Où veut-il juste partager de bons souvenirs avec des personnes qu'il apprécie ?? Ou bien faire de nouvelles connaissances ?? Si l'humain noie son chagrin, il le noierait pour « oublier » son travail. [...]
[...] Où doit-on les sanctionner ?? L'être humain est-il capable en général de comprendre par une explication ou doit-il faire une erreur pour comprendre les conséquences que celle-ci a ?? La punition est-elle vraiment efficace ?? Ou incite-t-elle, selon l'individu, à recommencer l'erreur, jusqu'à que celui-ci soit confronté à la plus grande conséquence de l'erreur qu'il a reproduite ?? L'enjeu du texte est politique, car Platon fait paraître à travers le chant et la danse les citoyens de la ville. Le chant et la danse forment le chœur. [...]
[...] Elles doivent nous unir par un plaisir partagé comme la danse ou le chant. Cela permet de renforcer le lien social entre les individus. En conclusion, il a été vu l'importance des fêtes chez l'espèce humaine et le fait que les jeunes soient plus mouvementés, comme les animaux. Puis, en suivant, il a été vu que l'humain possédait la raison contrairement à l'animal. Il est également à noter que l'auteur, Platon, s'adresse à son lecteur et veut le convaincre de la vérité de ses propos. [...]
[...] En suivant, il argumente sa thèse en décrivant ces amusements comme un plaisir « naturel ». Il prend exemple sur les animaux qui, eux aussi, ont ces amusements qui leur sont naturels. Il prend comme exemple, chez l'humain, le chant et la danse. Tous les enfants aiment chanter et danser. C'est ce qui fait que c'est un plaisir. Mais il est naturel, car tous les enfants chantent et dansent sans forcément avoir eu de cours. Et pourquoi ne pas profiter de ces plaisirs naturels pour les mettre à notre convenance ?? [...]
[...] C'est ce que Platon définit dans cette phrase. Sans les citoyens de la ville, pas de travail, de quoi à vivre, etc. Sans dirigeant, pas de règle, donc pas d'ordre dans la cité. Donc les citoyens ne feraient confiance qu'en leur famille. Résultat pas de joie, mais la guerre et le conflit. Or, dans une cité bien organisée, unie, les citoyens se font confiance, créent des amitiés donc des festivités qui amènent à la joie. Le thème de ce sujet est la nature de l'humain. [...]
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