« Hors de la société, chacun a tellement droit sur toutes choses, qu'il ne peut s'en prévaloir et n'a la possession d'aucune ; mais dans la République, chacun jouit paisiblement de son droit particulier. » D'après cette phrase de Hobbes, nous pouvons nous pencher sur la possibilité de pouvoir ou non vivre en société avec ou sans droit.
Tout d'abord, une société est une communauté humaine. Un groupement d'individus qui, dans les conditions prévues par la loi, affecte à une entreprise commune des biens ou leur industrie, en vue de partager le bénéfice qui pourra en résulter. Il faut savoir que les sociétés se divisent en société de personnes, formées en considération de la personne des associés, et en société de capitaux, ou la personnalité des associés est indifférente ou secondaire. La catégorie des sociétés de personnes comprend les sociétés en nom collectif, en commandite et en participation, et celle des sociétés de capitaux comprend la société par actions. Une société de personnes est une société dont chaque associé a consenti à faire partie en considération de la personne de ses coassociés, et dans laquelle tous les associés ou certains d'entre eux, selon le cas, sont indéfiniment responsables sur leur propre patrimoine des dettes de la société. Ce genre de société s'oppose à la société de capitaux, où la personne des associés est moins importante que le capital qu'ils apportent. Par la suite, le droit est quant à lui un terme indéfinissable, mais de façon objective, c'est un corps de règles qui régit la vie en société. Le droit permet de trancher avec impartialité des litiges, de rendre la justice. Le droit permet également de régir les rapports entre les membres d'une société. Il peut donc être comparé à une fonction sociale.
[...] Par exemple, le nouvel individu d'une société peut se sentir rejeté, car il est en désaccord ave le droit qui lui est imposé. Il faudrait que le droit évolue à chaque génération, car c'est une vision utopique de l'évolution du droit. Mais pour les personnes se sentant non libres, car le droit leur est imposé, ce n'est pas une vision utopique. Pour eux, une bonne société est une société sans droit, or d'après beaucoup de philosophes, l'homme se sent libre lorsqu'il a des droits et des devoirs, car sa vie est mise sur des rails qui lui montrent le bon chemin à suivre pour être un bon citoyen dans la bonne société dans laquelle il évolue. [...]
[...] Nous pouvons ici parler de la Loi de Nature. Loi qui régit les rapports de chaque individu, qu'il homme, animal, ou insecte. Le cycle de la vie est fait de Loi, plus une animale est gros plus il mange d'animale petit. C'est une loi qui est vraie depuis le début de l'apparition de la vie sur Terre. Dans la fable Le Loup et L'Agneau de Jean de la Fontaine, la morale est La loi du plus fort est toujours la meilleure Ce qui veut dire que plus un être vivant est fort, soit par ruse, soit physiquement, et bien d'autre caractéristique, il réussira à s'en sortir. [...]
[...] Or aujourd'hui, il faut que les sociétés soient des sociétés dont le droit est au centre de la vie de ses citoyens. Pour que dans un premier sens les citoyens puissent vivre ensemble ais aussi pour pouvoir avoir des échanges avec d'autres pays. Par exemple l'IRA (Irish Republican Army) en Irlande s'est constitué son propre Etat en Irlande du Nord ou le droit anglais n'est absolument pas respecté, leur territoire n'a aucun rapport entre l'Angleterre et le monde extérieur. Le droit n'est pas non plus applicable dans d'autres zones de non-droit, mais pour des raisons historiques, par exemple les Eglise ou les forces de l'ordre ne peuvent intervenir pour interpeller un individu. [...]
[...] Une supposition apparaît alors, il y a un lien qui les unit. Pour commencer, il faut se centrer sur la création du droit par la société et ensuite que le droit existe pour toute forme de vie (B.). A. La création du droit par la société. D'après les juspositivistes, et en particulier les juspositivistes utilitaristes, le droit a été créé pour correspondre à un principe d'utilité c'est-à-dire qu'il doit produire le plus grand bonheur au plus grand monde. Tandis que pour les juspositivistes normativismes, qui élaborent une théorie pure du droit détaché de toute morale, le droit n'est pas tel qu'il devrait être, ils ne cherchent pas l'origine du droit dans la nature ou dans la religion, pour eux le droit découle du droit, car le droit est le fondement du droit. [...]
[...] La possibilité d'une inexistence du droit. On remarque ici que dans certaines situations le droit se montre inexistant et ensuite que le droit ne peut exister d'une façon illégitime. A. L'Inexistence du Droit dans certaines situations. Le droit ne peut être applicable partout, comme nous le voyons actuellement dans les zones de non-droits et plus particulièrement en France. Ce sont des zones ou les forces de l'ordre ne peuvent intervenir à cause de l'anarchie qui y règne. Les personnes vivant dans ces zones sont représentatives d'une société encore juvénile, qui ne sait s'adapter au monde actuel. [...]
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