Cette crise est multiforme. Elle trouve ses causes dans les abus. Désigne l'ensemble des faiblesses institutionnelles de la monarchie au 18ème. Ces abus vont faire l'objet des critiques de différents courants d'idées réunies sous le terme générique de Lumières. Ces abus ont pu être corrigés à temps et l'incapacité de la royauté à mener à bien les réformes nécessaires a conduit à la réunion des états généraux.
Ces abus résultent principalement au 18ème siècle de l'inadaptation de toute une série de structures institutionnelles à la réalité sociale et aux besoins du moment. Cette définition peut s'appliquer pour décrire la situation qui se retrouve à la veille des révolutions. Si on voulait définir la révolution, on pourrait dire que c'est un renversement violent d'un ordre politique, juridique qui ne correspond plus avec la réalité sociale.
[...] Louis 14, idole de Voltaire a commencé à faire cela dans un ouvrage avec les grandes ordonnances. Mais ces ordonnances n'en comportent pas moins de nombreux défauts (droit civil pour les mariages) que dans celui de la législation criminelle. Voltaire conteste le fait que le mariage soit un sacrement. Pour Voltaire, le mariage est un simple contrat dont les catholiques romains en ont fait un sacrement. C'est surtout dans le domaine de la législation criminelle que Voltaire va être le plus critique et réformateur. [...]
[...] Retour des anciens parlements. Les ministres des finances successifs de 1776 à 1788 dont la plupart sont acquis aux idées nouvelles de Turgot à Necker jusqu'à Calonne vont chaque fois butter sur les réformes. En refusant d'enregistrer les lois, blocage de l'entrée en vigueur. La monarchie est morte d'une maladie de ses finances, mais elle est morte aussi d'une maladie de la volonté. Avec un louis 14 sur le trône en 1776, on peut penser qu'avec un Louis 14 au pouvoir, la Révolution Française n'aurait jamais éclatée. [...]
[...] La crise de l'ancien régime ou comment meurt une monarchie ? Cette crise est multiforme. Elle trouve ses causes dans les abus. Désigne l'ensemble des faiblesses institutionnelles de la monarchie au 18e. Ces abus vont faire l'objet des critiques de différents courants d'idée réunies sous le terme générique de Lumières. Ces abus ont pu être corrigés à temps et l'incapacité de la royauté à mener à bien les réformes nécessaires a conduit à la réunion des états généraux. Section Les abus de l'ancien régime Ces abus résultent principalement au 18e siècle de l'inadaptation de toute une série de structures institutionnelles à la réalité sociale et aux besoins du moment. [...]
[...] Rousseau est citoyen de Genève, un état libre, une république. Sa critique est plus radicale. Elle part de l'idée qu'il faut refonder le droit et la société dans son entier. Rousseau de replongeant aux origines de la société politique, il affirme qu'au départ les hommes sont égaux par la nature et en droit. C'est le principe de l'égalité naturelle des hommes. Selon lui, cette égalité naturelle a été ensuite avec le passage des hommes en société, perdue de vue et l'homme que rousseau définit comme un être naturellement bon, a été corrompu par la société. [...]
[...] En France, sous l'ancien régime, système de propriété coutumière appelées propriétés simultanées. Sur un même terrain, il peut y avoir plusieurs propriétaires ayant la saisine du bien. Tous ces abus vont faire l'objet des critiques des philosophes des lumières. Section L'ordre juridique et politique contesté; les critiques Lumières et l'inspiration des réformes Ce qui caractérise ce mouvement philosophique des lumières est un esprit de critique universel. À l'époque, encyclopédies de critiques nombreuses. On parle même d'avènement du reg de la critique. [...]
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