Concept de justice, loi, système social, système politique, Antigone, Jean Anouilh, Socrate, Platon, sophisme, principe supérieur de justice, Gorgias, Calliclès, théorie conventionnaliste, droit social, état de nature, droit positif, légalité de la loi, luttes de pouvoir, Hobbes, essence de l'injustice, système judiciaire, système pénitentiaire, La République, harmonisation de la justice, concept de loi naturelle, dichotomie nature/loi, légitimité de la loi, Rousseau, DDHC Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
Les réglementations et normes collectives qui régissent une communauté humaine sont connues sous le nom de Loi. Le concept de justice peut être vu de deux manières distinctes : soit comme une construction sociale qui vise à corriger toute violation de la norme, soit comme un principe idéal qui peut établir la justice dans toutes les sphères de la vie humaine au sein d'un système politique.
[...] La légitimité du contrat découle de la volonté collective d'une société libre et égalitaire. Cet acte d'association crée un corps moral et collectif, composé de membres égaux aux voix de l'assemblée. Il est important de noter que le critère de légitimité du contrat doit être défini par le peuple souverain, et non par des individus, pour assurer la liberté et l'égalité naturelles. Cette notion de la nature de l'homme, définie par la raison plutôt que par le désir, est essentielle pour établir la justice. [...]
[...] L'application de la loi rend-elle justice ? Les réglementations, codes et normes collectives qui régissent une communauté humaine sont collectivement connus sous le nom de loi. Le concept de justice peut être vu de deux manières distinctes : soit comme une construction sociale qui vise à corriger toute violation de la norme, soit comme un principe idéal qui peut établir la justice dans toutes les sphères de la vie humaine au sein d'un système politique. La question du fondement du droit La pièce Antigone examine la lutte entre les convictions personnelles et les lois de l'État La philosophie grecque a contesté la notion d'obéissance à la loi humaine à travers le personnage d'Antigone. [...]
[...] Malgré l'égalité inhérente au désir de vivre et d'atteindre ses objectifs, la guerre ne permet pas un tel respect. Hobbes met en évidence la rationalité d'une convention de paix. Il exige une soumission égale de toutes les parties concernées, conduisant à la formation d'un État despotique. Ce pouvoir absolu apaise les luttes de pouvoir naturelles tout en offrant la sécurité dont tout le monde rêve. En transférant des droits naturels à ce pouvoir, les citoyens perdent leur liberté et deviennent soumis à la loi, qui à la fois autorise et interdit les actions. [...]
[...] La signification de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 est la suivante : malgré les critiques de Hegel et Marx sur la nature formelle de l'égalité des droits, ils ont soutenu que c'était la seule base d'une société légale et ont plaidé pour une véritable égalité. [...]
[...] Il est donc raisonnable que l'État ait le pouvoir d'imposer des sanctions pour des actions qui sont uniquement fondées sur la puissance brute. Selon « La violence et le sacré » de René Girard, la capacité à neutraliser la violence est une source fondamentale de la puissance publique. En prévenant ou en réprimant les actes de violence, les autorités peuvent empêcher l'escalade des cycles de vengeance et protéger le tissu social de la destruction. Dans les sociétés anciennes, cela était réalisé grâce à des sacrifices rituels, tandis que les sociétés modernes s'appuient sur les systèmes judiciaires et pénitentiaires pour remplir la même fonction. [...]
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