Définition d'Aristote du citoyen : celui qui est né de 2 parents citoyens, son père et sa mère. Si ces aïeux participaient à la politique, ils étaient citoyens.
Les femmes : citoyennes mais ne participent pas au pouvoir politique et ont une capacité juridique restreinte (toujours assistées d'un homme).
Enfants: citoyens sans droits politiques (...)
[...] - le témoignage: Il y a toute une théorie du bon et du mauvais témoin. Pour qu'un témoignage soit valable, il faut plusieurs témoins qui ont le même discours et le témoignage a plus de poids selon la fortune du témoin. Le témoignage d'un homme est plus fiable que celui d'une femme. S'il existe un écrit, on doit écarter le témoignage. - la présomption: Ce sont des éléments qui influencent la décision du juge. Ce sont les juges qui tirent ces éléments à partir d'indices. [...]
[...] On ne se base que sur la réciprocité et sur l'égalité. Au 4ème siècle avant JC Rome s'attaque à la conquête de l'Italie puis de tout le bassin méditerranéen au 3ème siècle. La citoyenneté est l'instrument principal d'intégration car il y a une volonté de romanisation. Les différents degrés de concession de la citoyenneté: Rome ne traite pas les italiens de la même manière que les étrangers conquis au delà des mers. On ne concède pas la citoyenneté romaine aux pérégrins. [...]
[...] Guerre du Péloponèse: athéniens contre Spartiates. Dans l'affaire des îles Arginuses, les stratèges réussissent à libérer les athéniens. Mais, on les accuse de ne pas avoir ramené les corps des morts. La Boule qualifie les faits et l'assemblée condamne à mort les stratèges. Paragraphe Impérialisme athénien et déclin de la cité démocratique: Les grecs sont tellement fiers de la démocratie, qu'ils essayent d'exporter ce modèle partout. Derrière cet impérialisme, la démocratie coûte très cher et il faut la financer. Pour cela, on crée un trésor commun grâce à une association militaire qui est la ligue de Délos pour battre les perses. [...]
[...] Pour eux, il faut libérer l'homme de la religion Le juste et l'injuste n'existent pas en soi puisqu'ils changent selon les cités et les époques. Ils introduisent le relativisme, et l'homme est au centre de tout. L'homme est la mesure de toute chose La loi est l'expression de la volonté générale, de la souveraineté populaire. Sophistes de la seconde génération: Ils écrivent dans un contexte politique décadant. Thrasymaque, Callicès et Antiphon contribuent à miner la démocratie. loi est le reflet des intérêts des plus forts T. La loi n'est que l'expression artificielle et temporaire d'un compromis entre les hommes A . [...]
[...] Clisthène met en place pour la première fois un calendrier organisant le temps politique qui prévoit la répartition et la rotation des charges publiques. La gestion de la cité nécessite d'avoir du temps à consacrer à cette activité permanente. Ce qui n'est pas évident pour les citoyens qui vaquent à différentes activités (principalement agricoles) pour survivre. Il en résulte un certain désintérêt des affaires de la cité chez les citoyens les plus modestes. La politique demeurait encore entre les mains des milieux plus aisés. L'isonomie est parachevée par l'institution au s. av. J. [...]
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