Théorie générale de l'État de droit - De l'État de nature à l'État social

Extraits

[...] Les dialogues de Socrate et son procès ainsi que réflexions sur règles de droit sont intéressants, les grecs étaient selon eux démocrates dans le discours de Socrate ce qui est intéressant c'est la dialectique entre le mal et le bien cette dialectique nous montre une montée progressive vers la vérité loin des illusions Platon est un progressiste au-delà des apparences il faut essayer de connaître l'essence des choses pour cela il faut faire un effort d'abstraction des choses pour comprendre la réalité intellectuelle d'un projet. On atteint un niveau de compréhension qui nous fait découvrir que c'est le divin qui gouverne réellement le monde. Les auteurs chrétiens et le nouveau testament Le Christ nous apparaît dans le nouveau testament, dans les évangiles dans lesquels auteurs relatent vie de Jésus qui nous apparaît comme un modèle de relation avec autrui et de vie relativement différente ce qui existait autre part, le Christ créateur nous dit que nous devons nous aimer les uns les autres. [...]

[...] Il est nécessaire de remplir les conditions du contrat social pour que tous les membres se trouvent sur un pied d'égalité concernant leurs devoirs et obligations. Le contrat social pas envisageable dans une société oppressive où les individus n'auraient à aucun moment possibilité de prendre part aux décisions et d'en tirer des bénéfices Difficile d'exiger l'aliénabilité, mais on peut demander avant que règle s'applique aux décisions. Actes par lesquels membres gèrent affaires de la communauté : Droit à la libre exception : doit avoir parfaite liberté d'expression. [...]

[...] Aristote : l'homme est un animal politique, pas d'état de nature dans lequel l'homme vivrait isolé. Épicure : voit fondement de la cité et des liens de droit dans contrats et conventions liant sujets autonomes les hommes s'associent parce qu'ils ont éprouvés la douleur de subir des dommages, l'homme n'est pas un animal naturellement politique, l'homme fonctionne par intérêt. La nécessité conduit à nous rassembler (volonté de partager sa douleur). Hobbes : le 1er à introduire notion état de nature, essaye d'imaginer ce que serait l'homme en dehors de toute détermination sociale en dehors de toute loi, conviction que état de nature est un état de guerre, tout homme cherche à se conserver , libre d'utiliser comme bon lui semble tous les moyens à sa disposition pour se conserver amène à la guerre universelle, « l'homme est un loup pour l'homme », nous sommes tous mauvais, nature agressive pour y remédier il faut introduire autorité des gouvernements qui va inspirer terreur. [...]

[...] Cet état de non guerre est un cercle vertueux. « Une personne dont les actes ont pour auteur chacun des membres d'une grande multitude à la suite de conventions passées entre maires avec chacun des membres afin que celui qui est cette personne puisse utiliser force et moyens de tous comme il l'estimera, l'état est donc bien conséquence d'un contrat social qu'il institue afin de protéger ses moyens. Force des individus transformée en puissance publique. Tout pouvoir humain renvoie à l'acte fondateur d'une décision libre dehors, les hommes ne s'allient que quand il y a utilité » Rousseau : aliéner sa liberté est quelque chose qui justement va nous rendre libre, se soumettre à la loi est par essence la liberté le contrat social nous permet d'accéder à la loi, l'homme est né libre et vertueux c'est avec le contrat social que l'homme va se libérer de l'état de nature et de la dictature des gouvernements le contrat social est quelque chose de classique , c'est une contrainte, obligation qui va amener les hommes à aller dans un sens inverse vers celui vers lequel leur liberté les auraient spontanément conduit avec le contrat social chacun se soumet aux décisions d d'la majorité. [...]

[...] La volonté générale est préférable à la volonté du roi et doit être déterminée par actes législatifs. Le contrat social ne sera jamais sanctionné par un droit dérivé, ce contrat est antinaturaliste anti-providentialiste, mais humaniste : cela signifie que le pouvoir politique de l'État ne relève pas d'une création naturelle ou divine, mais d'une création sociale empirique et observable, quel que soit le fondement du pouvoir dans l'administration. La défense de l'intérêt général peut avoir le même pouvoir arbitraire qu'aux temps des rois. [...]