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La philosophie du droit permet de restituer le droit et d'avoir une vue d'ensemble par rapport à la religion, la morale, la sociologie, la technique du droit positif et la politique. Pour certains, le droit n'est qu'un des phénomènes sociaux comme la sociologie, l'histoire ou l'économie. On peut envisager le droit comme un système de représentation intellectuel suivant des principes qui lui sont propres, de façon indépendante des phénomènes idéologiques.
[...] La liberté des uns commence là où celle des autres s'arrête. Il y a une réalité concrète qui trouve une sanction lorsque l'obligation n'est pas respectée : c'est le juriste qui est le mieux qualifié à parler de libertés, le philosophe lui cherche à envisager la liberté par toutes sortes de considérations physiques éco et idéologiques. Il y a différentes doctrines qui vont différer selon les valeurs sur lesquelles elles mettent l'accent, la justice selon le mérite, l'égalité, la sécurité juridique, le progrès social tout dépend de ce que l'on veut mettre en avant Nietzche : le travail est la meilleure des polices La philosophie idéaliste Au-delà de la diversité des thèses qui s'y rattachent, la philosophie idéaliste correspond à la doctrine du droit naturel qui veut qu'il y ait une justice supérieure au droit positif qui s'impose au pouvoir du législateur. [...]
[...] La justice ne serait pas opérationnelle en éradiquant le système capitaliste. Certes le système capitaliste empoisonne la nature des hommes, mais renoncer au système capitaliste c'est renoncer à la liberté, et les hommes préfèrent la liberté à l'égalitarisme ou le marxisme est quelque chose d'assez profondément liberticide, le capitalisme aussi est liberticide. D'autres auteurs s'intéressent à la source du droit l'auteur de référence est Auguste Comte selon lui l'individu et l'humanité passent successivement par un stade théologique héréditaire métaphysique et légiste pour atteindre enfin le stade positif et industriel ou les hommes se contentent de découvrir les lois effectives qui régissent les faits et par l'observation et le raisonnement. [...]
[...] Sur l'idée marxiste, il y appropriation des richesses et assujettissement des populations. Historiquement, on assure la prévalence de la société sur l'individu. Pour ce qui est de la politique sociale, c'est l'état providence, doctrines sociales affirment la supériorité de l'homme et confient au droit la discipline à laquelle les individus doivent se conformer au nom de l'intérêt général. Le problème du collectiviste est qu'il a tendance à limiter les perceptions individuelles, ce qui explique que l'économie est souvent défaillante dans les systèmes collectivistes. [...]
[...] Selon Aristote, le droit relève de l'harmonie de l'ordre naturel. Il faut observer les sociétés et en tirer la quintessence de ce qui doit être le droit se dégage un droit naturel d'une approche réaliste, mais le droit naturel ne suffit pas il faut à un moment donné qu'il se traduise par un droit positif. La doctrine chrétienne exprime par Saint Augustin qui distingue loi profanée de la loi morale, il s'agit de ne pas confondre cité terrestre et céleste c'est ce qui a fait la chute de l'Empire romain selon Saint Augustin. [...]
[...] On va promouvoir les droits de l'individu et ces droits naturels. D'autres courants d'idées, l'école allemande notamment, et critiques. L'école naturelle soutient que le droit n'est que le produit de l'évolution du peuple et que loin d'être universel, il est propre à chaque nation. Les théoriciens du droit naturel soutiennent que législateur doit se conformer au droit naturel et, s'il faillit à ce devoir, les juges et les citoyens peuvent désobéir à des devoirs injustes ; c'est dans la DDHC, le droit de résistance à l'oppression ce droit naturel devient conforme au droit positif. [...]
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