Pouvoir législatif, régime parlementaire, fait majoritaire, loi ordinaire, loi organique, loi constitutionnelle, ordonnance, article 34 de la Constitution, article 37 de la Constitution, DDHC Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, rôle du Conseil constitutionnel, article 41 de la Constitution, projet de loi, proposition de loi, ordre du jour, navette parlementaire, article 49-3 de la Constitution, contrôle de conventionnalité des lois, article 24 de la Constitution, contrôle parlementaire, commission d'enquête, CEC Comité d'Evaluation et de Contrôle des politiques publiques, Cour des comptes, recevabilité de la loi, adoption d'une loi, politiques publiques
La Ve République s'impose en réaction par rapport à celles qui l'ont précédée : en effet, les autres étaient caractérisées par l'omnipotence du Parlement, au point que le Président perdait tout pouvoir, et que le gouvernement était un agent de l'assemblée.
La réaction, c'est la rationalisation du parlementarisme. Les moyens de celle-ci sont théorisés par Michel Debré. On a observé une certaine forme de déclin du Parlement, notamment à partir de 1962, dû à la forte pression sur le Parlement, liée notamment à l'apparition du fait majoritaire. La combinaison de ces éléments de rationalisation et du fait majoritaire a conduit à cette forme de déclin.
Le Parlement était alors relégué à un rôle quasi secondaire, ce pour quoi des réformes ponctuelles ont tenté de remédier ; la plus grande tentative sera celle de 2008, qui élargira les prérogatives du Parlement pour qu'il puisse s'affirmer de façon plus significative dans l'interaction des institutions de la Ve République et dans le cadre de la procédure législative. De même, le Parlement a deux fonctions : voter la loi, et, surtout dans un régime parlementaire, exercer un contrôle du gouvernement et des politiques publiques.
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