A partir de la première moitié du Ier siècle avant Jésus-Christ, l'expansion territoriale romaine se fige au point d'atteindre ses limites définitives : la Grande-Bretagne, l'Europe occidentale, les Balkans, l'Asie mineure, une partie du Proche et Moyen Orient, l'Egypte et toute l'Afrique du Nord.
Une des évolutions notables est qu'une bonne partie de ces royaumes passent du statut d'alliés au rang de provinces sous domination romaine.
Globalement, il y a un important travail d'unification des institutions et de la condition juridique des différents peuples soumis à la domination romaine.
Pompée, César et Crassius se partagent l'Empire.
L'empire parthe (Iran) est le grand adversaire de l'Empire romain. Crassius décide en 52 avant Jésus-Christ de régler une fois pour toute le compte des Iraniens. Cependant, cette lutte entraine la défaite des Romains. De plus, Crassius est fait prisonnier et est tué.
Pompée est assassiné à l'instigation de César, qui a vaincu la Gaule en 52 avant Jésus-Christ. César devient dictateur unique et perpétuel, mais est assassiné en 44 avant Jésus-Christ par des membres du Sénat.
Marc-Antoine et Octave arrivent au pouvoir après César (...)
[...] Il y a une présence insistante de ces dieux invisibles (mais bien réels) qui interviennent dans le monde des hommes. Le IIIe siècle voit une croissance de ces dieux et de leur influence. Il y a aussi un développement de l'occultisme et de la magie. Ce sont les revers de cette spiritualité croissante. Le salut a une importance croissante, voire obsédante. Les réponses sont ici apportées, qui sont un regain de religiosité. La préoccupation d'un bonheur dans l'au-delà s'insère dans un schéma religieux général : l'âme du défunt doit remonter à travers les sphères célestes. [...]
[...] Au scepticisme rationaliste se substitue un sentiment religieux de type oriental nouveau qui s'impose à tous les niveaux, de l'empereur au simple soldat. Se développe aussi une atmosphère de piété mystique. Il y a une sorte de retour au sacré. Le mot sacré devient omniprésent. L'empereur est devenu pour le peuple une sorte de dieu, mais ne l'est pas complètement. En effet, par exemple, Dioclétien montre sa dimension humaine en abdiquant. L'empereur est plutôt un intermédiaire entre les hommes et les divinités. Tout ce qu'il touche devient sacré. [...]
[...] Pompée est assassiné à l'instigation de César, qui a vaincu la Gaule en 52 avant Jésus-Christ. César devient dictateur unique et perpétuel, mais est assassiné en 44 avant Jésus-Christ par des membres du Sénat. Marc-Antoine et Octave arrivent au pouvoir après César. Octave obtient le soutien du Sénat après la défaite de Marc-Antoine en Iran. En 31 avant Jésus-Christ, Marc-Antoine est battu à la bataille d'Actium. L'Empire est rétabli en 27 avant Jésus-Christ. Dès lors (et jusqu'au IIe siècle après Jésus-Christ) Rome connait une période globalement prospère. [...]
[...] Cependant, l'empire arménien est généralement l'allié de Rome. Le roi d'Arménie est pourtant de la même famille que celui d'Iran. Une fois que les sassanides arrivent au pouvoir, l'Arménie se rallie à Rome. A partir du IVe siècle après Jésus-Christ, Rome et l'Arménie se christianisent. L'Arménie adopte cette religion en 311. C'est le premier pays à ériger le christianisme en religion officielle de l'État. En 387, romains et iraniens se partagent l'Arménie où la royauté est rapidement abolie. Au delà des problèmes avec Rome, l'Iran a des problèmes à l'Est avec différentes tribus plus ou moins sauvages, dont celle des Huns. [...]
[...] Les italiens sont à la fois citoyens de leur ville d'origine, mais aussi de Rome. Section 3 : L'administration provinciale Elle diffère selon que l'on a à faire à des provinces sénatoriales ou à des provinces impériales. Les provinces sénatoriales Le gouverneur est toujours un sénateur. Les provinces dont le gouvernement est un Sénat sont celles qui ont été pacifiée et celles dans lesquelles il n'y a pas besoin de stationner l'armée. Il s'agit (par exemple), au temps d'Auguste, de l'Asie mineure, de l'Afrique du nord, de la Sicile, de la Corse et de la Sardaigne. [...]
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