Droit international public, article 55 de la Constitution, guerre en Ukraine, Russie, universalisme, UE Union Européenne, droit de l'Union européenne, Charte des Nations unies
On fait souvent remonter l'origine du droit international public européen à la paix de Westphalie (1648) qui a mis fin à la guerre de 30 ans. Pourtant, le monde antique connaissait déjà des relations politiques organisées. Au Ve siècle, par exemple, la Grèce posait les premiers jalons en réglementant la guerre entre cités.
Le terme spécifiquement de « droit international » revient à Jeremy Bentham.
Il y a une remise en question de l'ordre international, car le droit international peut apparaître illégitime aux États ayant acquis leur indépendance lors de la décolonisation, ou aux États les plus faibles.
[...] Dans son discours devant les ambassadeurs et les ambassadrices, le président français Emmanuel Macron va traiter de plusieurs plans du droit international public notamment : - droit international économique, - droit international humanitaire, - droit international de l'environnement, - droit international de l'agriculture. En effet, il relève les enjeux suivants en précisant que : - le contexte international se complique et est remis en cause, - l'affaiblissement du continent européen face à de nouvelles puissances qui s'imposent et le sentiment anti-occidentaliste, - la dilution de la population, de la richesse produite et des échanges mondiaux, - la montée d'une forme de protectionnisme. Il s'interroge sur les questions suivantes : - d'où proviendra l'énergie fossile future ? [...]
[...] Niger Delta's potential for sustainable development remains unfulfilled, and is now increasingly threatened by environmental devastation and worsening economic conditions. In spite of the enormous wealth accrued from their land by oil companies, the people continue to live in unfavourable conditions without electricity, pipe borne water, hospitals, housing and schools.47 The Ecumenical Council for Corporate Responsibility (ECCR) considers how the operations of Shell's Nigerian subsidiary, the Shell Petroleum Development Company (SPDC), affect the human rights and living conditions of Niger Delta communities. [...]
[...] Pour eux, le droit international se rapproche davantage de la politique. Ce n'est pas du droit, car il n'y a pas de sanction, il est incapable d'empêcher le recours à la force, ce ne serait donc pas un véritable système juridique, car, les obligations qu'il édicte sont dépourvues de sanctions judiciaires. Austin en vient ainsi à considérer le droit international comme n'étant qu'une « positive morality ». En effet, malgré l'existence de tribunaux internationaux, ceux-ci sont incapables de faire appliquer leurs jugements. [...]
[...] Encore une fois, la loi du plus fort agit en la faveur des États-Unis et en défaveur de la Russie qui reste la « mal-aimée » de l'Europe. II. Le droit international existe-t-il vraiment ? Document 2. P. Weil, « Le droit international en quête de son identité », RCADI extraits Le droit international existe-t-il vraiment ? Selon les négationnistes du droit international : - « Les États ne sont tenus au respect des traités qu'aussi longtemps qu'ils y ont intérêt » (Hegel) - « Les traités internationaux sont comme les roses et les jeunes filles : ils durent ce qu'ils durent » (de Gaulle). [...]
[...] » Pourtant, les États-Unis ont bien combattu en Irak en 2003. Les justifications officielles étant de renverser Saddam Hussein, chasser le parti Baas du pouvoir et instaurer la démocratie (presque de force Car la démocratie est le modèle selon la conception européenne le plus adapté pour régner, est-ce nécessairement vrai Cette guerre fait évidemment suite à l'attaque des tours jumelles du 11 septembre 2003. Les États-Unis ont donc violé le droit international avec cette attaque, en envahissant illégalement l'Irak, causant la mort d'Irakiens, la destruction d'infrastructures et plongeant toute une région dans le chaos. [...]
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