droit international public, Charte des Nations Unies, ONU, organes pléniers, organes restreints, Conseil de sécurité, Secrétariat général des Nations Unies, paix
En 1945, les États membres fondateurs des Nations Unies entendent promouvoir non seulement une conception négative et positive de la paix.
Qu'est-ce qu'une conception positive de la paix ? La paix est le seul élément qui permettra d'éradiquer les facteurs considérés comme bélligènes (pauvreté, épidémie, environnement pollué) par la coopération des États et passe par le maintien de la paix. C'est ce qui ressort largement du préambule de la Charte.
[...] Réaliser la coopération internationale et le respect des droits de l'homme est le moyen de réaliser la coopération internationale. Ce but est précurseur : par la suite, la promotion et la protection des droits de l'Homme ont été un domaine d'action essentiel de l'Organisation et ont favorisé la création du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques (PIDCP) et le Pacte International relatif aux Droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC) et aussi le Conseil des droits de l'Homme (renommé en 2006) qui procède à un examen périodique universel et examine la situation des droits de l'Homme dans différents États dans tous les domaines pour proposer une évaluation ; 4. [...]
[...] Le pouvoir de sanction est mis en œuvre lorsque le Conseil de sécurité a déjà adressé des injonctions à l'État ou l'entité agresseur et ces injonctions n'ont pas été suivies (ressemble fortement à une mise en demeure). Il existe deux types de sanctions en vertu des articles 41 et 42 du Chapitre VII : a. Le pouvoir de sanction peut être non militaire en application de l'article 41 de la Charte. Cet article vise de façon non limitative l'interruption complète ou partielle des relations économiques des communications ferroviaires, maritimes, aériennes, postales, radioélectriques et la rupture des relations diplomatiques. Ce sont surtout des sanctions économiques en réalité. [...]
[...] Cette qualité de membre observateur ne leur confère pas le droit de vote (réservé aux seuls États membres), mais peut participer aux travaux de l'Assemblée générale ou avoir accès à certains documents. Ces droits sont différents selon le statut (permanents qui serait accordée à un État tiers et est le préalable à sa future adhésion en tant que membre de l'Organisation et ses droits sont étendus ; fonctionnels et donc conviés lorsque certaines questions sont débattues, ou occasionnels et alors invités à une seule session ou réunion de l'Assemblée). Exemples du Conseil de l'Europe instauré par la Convention européenne des Droits de l'Homme ; l'Union européenne a un statut de super observateur. [...]
[...] La conception régionale peut s'opposer à la conception onusienne du maintien de la 2. La décision de lancer une opération de maintien de la paix sous les auspices de l'Organisation se heurte souvent à de nombreux obstacles et en particulier à la réticence des grandes puissances à intervenir dans conflits de portée régionale ou des guerres civiles. Exemple de coopération entre l'Organisation des Nations-Unies et de l'Union africaine : La Somalie se relève de plus de 20 ans de guerre civile, guerre civile qui a permis le développement du terrorisme international incarné par le groupe Al-Sabad, groupe affilié à Al-Quaida. [...]
[...] Le problème est que les grands axes et les campagnes sont toujours sous leur tutelle. Le 1er septembre 2014, un drone américain élimine le chef du groupe terroriste : il s'agit là d'un exemple de meurtre ciblé, mais la milice terroriste conserve des capacités opérationnelles même si elle est considérablement affaiblie. Aussi et toujours en Somalie, la piraterie est un fléau conséquent, au nord- ouest de l'océan Indien, point stratégique du commerce au niveau des approvisionnements. Les actes de piraterie ont été endigués depuis 2012 avec l'aide de l'OTAN. [...]
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