Palestine, État, mandat britannique, nazis, ONU Organisation des Nations Unies, AP Autorité Palestinienne, Accord Intérimaire de 1995, Israël, Moyen-Orient, communauté internationale, diaspora, déclaration de Balfour, 1917, État palestinien, État israélien, illusion, Société des Nations, 1947, persécutions, immigration, octroi d'indépendance, Royaume-Uni, limites, politique de gouvernance, loi internationale, foyer national, conflit, terrorisme, bande de Gaza, Cisjordanie, Hamas, indépendance, violence
La situation de la Palestine a toujours été complexe et difficile à expliquer. Pouvoir dire si la Palestine est un État ou pas, au fil des années, est devenue question de la position de l'analyste face à cette problématique. Historiquement parlant, pendant la période qualifiée de mandat britannique et allant de 1917 à 1947, la Palestine était sous tutelle britannique conformément à la décision de la Société des Nations. À l'exception d'autres territoires ottomans qui deviendront par la suite indépendants, la Palestine est restée sous mandat.
Durant ce mandat britannique, vers les années 30, au cours des persécutions des nazis, plusieurs juifs, en provenance en grande majorité de l'Europe de l'Est, envahissaient la Palestine, alors encore sous mandat britannique. C'est ainsi qu'en 1937, les Arabes, occupants de la Palestine sous mandat, commenceront à revendiquer leur indépendance ainsi que l'arrêt de l'immigration massive des juifs provenant de l'Europe de l'Est. En effet, la population palestinienne constituée des Arabes s'est révoltée pour mettre fin à cette situation.
Depuis cette époque, la Palestine est composée de deux parties se disputant l'indépendance et au cœur de laquelle violence et terrorisme sont devenus des problèmes en permanence. Étant sous mandat britannique, plusieurs tentatives d'octroi d'indépendance ont été engagées, mais en vain. C'est ainsi qu'en 1947, le Royaume-Uni décide de confier ce problème aux Nations Unies.
[...] En conclusion, la question de savoir si la Palestine était un État reste problématique jusqu'à nos jours. Aussi longtemps que les deux pays seront sur un même espace, la Palestine ne remplira pas les critères requis pour devenir un État indépendant reconnu au sens du droit international. D'autre part, le manque de contrôle de la Palestine sur les troubles causés dans la région, ne fait pas d'elle éligible pour à la reconnaissance comme État. En effet, le groupe comme le Hamas ne cesse de terroriser la zone sans l'intervention de la Palestine. [...]
[...] D'où, seule l'entente entre les deux pays sera à la hauteur d'assurer une paix réelle dans le territoire, bien que la communauté internationale puisse aussi intervenir. En attendant un compromis qui arrangera toutes les parties, la dualité étatique persistera au sein de la région et la Palestine sera toujours un État dans l'illusion. [...]
[...] Dans la première, il faut qu'il ait l'existence d'une autorité qui prouve avoir une certaine maitrise sur sa population. Sur l'ensemble de son territoire, le groupe des dirigeants doit se faire obéir, tant par ceux qui sont d'accord avec la politique de gouvernance, que pour ceux qui ne le sont pas. Deuxièmement, comme mentionné ci-dessus, il est tout à fait normal qu'une partie de la population ne soit pas d'accord avec la gouvernance. Mais n'empêche, cette contestation devra se faire sous les règles établies par le pouvoir en place, sinon c'est la jungle où la loi du plus fort règne. [...]
[...] La dualité étatique. La réalité dans la région prouve qu'il y a l'existence de deux États et un groupe terroriste qui se battent pour le même territoire. Jusqu'à présent, aucune négociation n'a pu satisfaire toutes les parties. Et pourtant, bien que la communauté internationale puisse intervenir, seules les deux parties à savoir la Palestine et l'Israël doivent trouver un terrain d'entente pour une paix effective au sein de cette région. En vue d'appuyer l'idée ci-dessus, nous proposons la déclaration suivante : « En conséquence, la notion de frontière au sens interétatique est dans ce cas suspendue à cette non-résolution du conflit. [...]
[...] D'où, toute manœuvre tentée dans un cadre hors accords mettra en péril les négociations en place. Il est souvent dit que la déclaration prématurée de la Palestine en tant qu'État nuirait à toute chance de construire une paix réelle dans cette région (Moyen-Orient)) en général et en Palestine en particulier. L'Israël de son côté a aussi le droit d'exister conformément à la déclaration de Balfour en 1917 et celle de l'ONU en 1947. Le territoire occupé par l'Israël est considéré comme un foyer national des juifs. [...]
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