L'Amérique Latine est une région marquée par l'influence espagnole et portugaise. Une région qui doit composée avec des héritages notamment français, néerlandais et britannique puisqu'une partie des Caraïbes est anglophone.
C'est une région marquée par trois traumatismes :
- la colonisation qui a brisé la civilisation autochtone, notamment indienne qui n'a jamais repris le pouvoir en dépit de l'indépendance acquis dès le XIXème. Au mieux il y a eu un métissage. Même s'ils animent certains mouvements identitaires, parfois en rébellion face aux gouvernements en place. Ex : Commandant Marcos avec les CHIAPAS. En Equateur il y en a également et les évènements récents s'expliquent par ces mouvements indiens (...)
[...] Cette situation explique en partie l'émergence de rébellion armées dans certaines régions notamment au sud du Mexique comme dans la région du Chiapas. L'ALENA est expliqué parce que l'on craint des décentralisation du côté du Mexique. Globalement on estime que l'ALENA serait plutôt positif pour le Mexique. Cela contribue à arrimer le Mexique encore davantage aux industries nord américaines. Pour certains Mexicains se tourner vers le Mercosur serait une possibilité pour rééquilibrer les échanges économiques. Les Américains ont également un second projet qui est celui de ZLEA (zone de libre échange des Amériques). : Libéralisation du commerce à tout le continent américain. [...]
[...] Plusieurs pays de la région neutres Mexique, Venezuela ) vont constituer un groupe : le groupe de Contadora. Ces pays vont proposer un plan de paix et de coopération en Amérique Centrale en 1985. Ce plan de paix insiste sur le respect des droits de l'Homme et cherche à traiter chaque conflit précisément pour éviter l'embrasement général. À la suite de ce plan, le président du Costa Rica, Oscar Arias, propose son propre plan de paix qui est plus audacieux encore. [...]
[...] Les FARC en ont pris la suite. Ces mouvements ont pris un essor important depuis le milieu des années 50, depuis la violencia. Tous ces mouvements se veulent révolutionnaires, ce sont des mouvements de rupture avec le libéralisme. Ils s'opposent avant tout aux grands propriétaires fonciers de Colombie. Il y a des relations plus complexes avec les chefs de réseaux des narco trafics ; ces mouvements soit les combattent, soit en perçoivent les dividendes. La Colombie est malade de la corruption. C'est une société profondément inégalitaire. [...]
[...] Ce nouveau président sera renversé par un coup d'Etat militaire. La plupart des pays, à l'époque, vont condamner ce coup d'Etat et vont rompre leurs relations avec ce nouveau régime militaire ; le pays va donc assez vite retourné à l'isolement. Va perdurer une situation de grande misère sociale et d'insécurité. Beaucoup de haïtiens vont tenter de fuir leur pays par la mer. Compte tenu de cette situation assez dramatique, les EU vont saisir l'ONU et réclamer une intervention internationale. [...]
[...] Le pays s'installe dans la violence politique, dans un régime de corruption. En 2000, Aristide redevient président. Assez vite, il devient, avec les autres civils au pouvoir, un contre exemple parce que il ne fait rien contre la violence politique, contre la corruption Pour éviter que le pays ne plonge définitivement dans le chaos, les EU et la France vont de nouveau intervenir en 2004. Aristide va être enlevé par les franco américains et emmené en exil ( Destitution de force. [...]
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