État, Jeux olympiques, COJOP, SOLIDEO, CIO, ordre public international, lutte contre le dopage, normes internationales, transparence, décret n°2017-1336, impartialité, collectivités territoriales, Région Île-de-France
« L'État est le garant de la réussite des Jeux olympiques. Il est le garant de la sécurité, de la logistique, et de la promotion de l'événement. Sans l'appui de l'État, les JO ne pourraient pas avoir lieu. »
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L'État est l'entité souveraine qui exerce l'autorité suprême sur un territoire donné. Il représente le pouvoir central dans un pays. L'État en France est composé de trois pouvoirs distincts : le pouvoir exécutif, législatif et judiciaire. Le pouvoir exécutif est dirigé par le gouvernement, constitué de ministères et d'agences gouvernementales. Les ministères sont responsables de l'administration quotidienne du pays et de la mise en oeuvre des politiques publiques. L'État la charge de l'intérêt général et en ce sens à un rôle primordial dans l'organisation des Jeux olympiques.
[...] Les compétences et le rôle des collectivités territoriales dans l'organisation des Jeux Contribution au développement économique et culturel de la région : L'article L. 4211-1 stipule que les régions ont pour mission de contribuer au développement économique, social, et culturel de la région. Cet objectif est en ligne avec l'organisation des Jeux, car ces événements ont un impact économique significatif sur la région hôte. Les collectivités territoriales ont donc un rôle crucial en investissant dans des équipements, en favorisant le développement économique local et en participant au financement d'infrastructures liées aux Jeux. [...]
[...] Ainsi l'attribution à l'État est importante pour maintenir la conformité avec les normes internationales en matière de lutte contre le dopage. Et, permet à la France de rester en conformité avec les accords internationaux et de contribuer à la lutte antidopage à l'échelle mondiale. Il doit assurer le renforcement de la transparence et de l'impartialité : L'article 25 prévoit la création d'une commission distincte au sein de l'Agence française de lutte contre le dopage pour prononcer des sanctions. Ce qui garantit une séparation claire des pouvoirs et renforce la transparence et l'impartialité du processus décisionnel en matière de sanctions antidopage. [...]
[...] Garanties de l'État et prérogatives de puissance publique : l'État apporte un soutien financier et des garanties au COJOP, ce qui souligne son rôle essentiel dans la réalisation des Jeux Olympiques. De plus, les prérogatives de puissance publique conférées au COJOP, notamment en ce qui concerne l'attribution de titres de sous-occupation du domaine public, montrent qu'il exerce des fonctions importantes au nom de l'intérêt général Leur lien de dépendance intrinsèques à l'État Le COJOP comme association à but non lucratif régie par la loi du 1er juillet 1901 est extrêmement dépendante de l'état en raison de sa nature. [...]
[...] De plus, la compétence du Conseil d'État est clairement établie pour traiter des litiges liés à cet établissement. Cela démontre que les associations à but non lucratif relevant de l'intérêt public sont étroitement liées à l'État et dépendent de lui pour leur reconnaissance et leur fonctionnement. Le Solideo est lui aussi extrèmement dépendant de l'état : Tribunal des conflits décembre 2004, Époux Blanckeman contre Voies Navigables de France, n°3416 : les établissements publics industriels et commerciaux, tels que Voies Navigables de France, sont soumis à la compétence de la juridiction judiciaire pour les litiges relatifs à leurs activités commerciales. [...]
[...] Cela montre que l'État conserve un pouvoir de coordination sur les activités des collectivités territoriales en matière d'investissements. Cela permet par ailleurs de renforcer l'efficacité des dépenses publiques et garantir une utilisation optimale des ressources. Participation financière de l'État : L'article évoque la participation volontaire au financement d'équipements collectifs présentant un intérêt régional direct. Cela signifie que l'État peut contribuer financièrement aux projets des collectivités territoriales s'il estime qu'ils sont d'intérêt régional. Ainsi, l'État peut influencer les décisions des collectivités locales en fournissant ou en refusant un soutien financier. [...]
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