L'éducation se définit comme étant l'action de développer les facultés morales, physiques et intellectuelles. De ce fait, l'éducation est un droit de l'homme. L'article 26 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (1948) fait de l'éducation un droit fondamental de l'homme, tout comme le droit à l'eau, à l'alimentation et au logement.
L'éducation est aussi un catalyseur du développement humain car elle permet à chacun d'acquérir les outils et les connaissances nécessaires pour comprendre le monde d'aujourd'hui et y participer. Elle contribue à entretenir les valeurs indispensables au bien-être individuel et collectif. Elle est à la base de l'apprentissage tout au long de la vie. Elle crée la confiance et fournit les compétences nécessaires pour participer au débat public. Elle rend plus autonome et plus conscient de ses droits et de ses possibilités (...)
[...] Tandis que la gratuité est impérative pour le primaire, elle est seulement considérée comme un moyen permettant de généraliser l'enseignement secondaire et supérieur. Dans son observation générale à l'article 13, le comité des droits économiques sociaux et culturels commente à ce propos : l'éducation doit être économiquement à la portée de tous. Il y a lieu de noter à ce sujet que le paragraphe 2 de l'article 13 est libellé différemment selon le niveau d'enseignement considéré GRATUITE DE L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE EN COTE D'IVOIRE Selon le rapport mondial Education Pour Tous (EPT) 2002 La couverture de la scolarisation reste faible en Afrique et particulièrement en Afrique Subsaharienne. [...]
[...] C'est en 1881 que la gratuite de l'enseignement primaire (article l34-1 du code de l'éducation) a été instituée il s'agit de faciliter au maximum la fréquentation de l'école dans le contexte d'une scolarisation massive dans le respect de l'égalité de tous les usagers. La gratuite concerne l'ensemble de la prestation d'enseignement dispensé à l'école. La scolarité ne peut donner lieu à aucun versement de droit d'inscription à l'école. De même aucune participation financière aux activités obligatoires d'enseignement ne peut être demandée aux familles. [...]
[...] Quelles que soient leurs similitudes ou leurs différences, ces groupes ont une existence parallèle et distincte. Parmi les similitudes, l'on a la priorité accordée à l'éducation de base ainsi que l'attention portée à l'éducation des filles. Les différences concernent les fondements et l'objet de la coopération internationale. notons également que : la date prévue pour assurer un accès universel à l'éducation de base est en 2015; les politiques en matière d'aide des années 90 étant axées sur l'atténuation de la pauvreté, les effets sur l'éducation pourraient être importants, mais restent imprévisibles. [...]
[...] Mais qu'en est il de son application ? Des campagnes publicitaires sont faites dans Le sens de la gratuité de l'école. Les parents ne paient effectivement aucune somme lorsqu'ils inscrivent leurs enfants, mais après seulement quelques mois de cours l'on constate que les enfants rentrent à la maison avec des mots indiquant aux parents qu'un montant de 5000FCFA ou 10000FCFA leur est demande comme contribution obligatoire, cela est le fait du COGES (comite de gestion de l'école) car l'état s'est désengagé de la gestion en attribuant la tache au COGES crée par le ministère de l'éducation en collaboration avec le comite des parents. [...]
[...] Mise en œuvre de politique de contrôle dans les établissements primaires. Mise en place de ressources financières à la disposition des établissements en vue des réparations des infrastructures. [...]
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