Tensions entre caste : société indienne est traditionnellement organisé en caste mm si celle ci ont été formellement interdite : l'homme ne se conçoit que comme élément d'une hiérarchie. Le groupe d'appartenance est davantage valorisé que l'individu. Selon la formule de Louis Dumont (anthropologue) « l'Inde est pas excellence le pays du holisme ». L'holisme valorise le groupe social, la totalité social auquel l'individu est subordonné. S'oppose à l'individualisme qui caractérise les sociétés occidentales. On distincte plusieurs castes en Inde : guerrier, prêtre commerçant, cultivateur puis les hors caste appelé les intouchables. De génération en génération, ce système s'est reproduit chacun devant accepter le statut social hérité de ces parents (...)
[...] L'Inde : un géant asiatique Un milliard 100 millions d'habitants, extraordinaire hétérogénéité. Les contrastes de la société indienne Pays très hétérogène, on en fait généralement une présentation idyllique, un pays de paix de non-violence, de spiritualité. Tout ça étant personnifié par la figure de Gandhi. En réalité, c'est un pays où existent de très vives tensions. Société marquée par la violence. L'assassinat de X premier ministre témoigne de cette violence politique : 90( Gandhi. Pays très hétérogène sur le plan ethnique, religieux et linguistique. [...]
[...] BJP a pris le pouvoir en 98, le président de l'Inde depuis 2002 est un musulman, c'est Abdul Kalam. - Tensions entre le centre (niveau fédéral) et la périphérie (les provinces) : L'inde a hérité de la colonisation britannique d'un Etat à l'occidental relativement centralisé. Historiquement et politiquement, le parti du congrès à incarner cet Etat indien. Mais autour de cet Etat, c'est développé le système de la clientèle, de la corruption. Cela conduit à affaiblir l'Etat indien et à une réaffirmation de certain particularisme local, redécouverte d'identité régionale mais aussi religieuse. [...]
[...] Elle compte un peu plus de 20 millions d'habitants. Elle est partagée de façon inégale entre deux communautés : la communauté majoritaire que sont les Cinghalais (bouddhistes ; de la population, concentrés dans le Sud-Ouest autour de la capitale : Colombo) et une minorité Tamouls (environ 20% de la population qui vient au nord de l'île et sur une partie de la côte ; ils ont une autre capitale Jaffna). Après l'indépendance, il y a eu de fortes tensions entre ces deux communautés. [...]
[...] À compter des années 60, l'Inde va développer la coopération notamment économique avec l'Urss. Ce rapprochement avec le bloc soviétique s'explique en raison d'un différent frontalier avec la Chine qui avait conduit à un conflit armé en 1962 dans la région du Cachemire. Lors de ce conflit l'armée indienne avait été rapidement et facilement défaite par la chinois et les indiens avait observé que les occidentaux ne les avaient pas aidé. Cela a contribué leur rapprochement avec l'Urss alors que normalement étaient proche des EU et de la GB. [...]
[...] Ce partage ne satisfait personne et il y aura des affrontements sporadiques qui durent encore aujourd'hui malgré le cessez-le-feu. Plusieurs crises graves et affrontement armé en et 99. pour le Pakistan, le Cachemire doit faire partie intégrante du Pakistan puisque les musulmans sont très majoritaires. Pour les Indiens, cette condition ne suffit pas d'autant plus que dans la région il y a d'importantes minorités hindouistes et bouddhistes. Différentes résolutions de l'ONU exigent un référendum d'autodétermination mais celui-ci n'a pas encore pu intervenir. L'Inde y est hostile. [...]
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