Il est élu fin 2000 à l'issue d'un scrutin qui l'a opposé au vice-président Al Gore. Les résultats ont été contestés.
La Cour Suprême finit par donner la victoire à Bush qui a emporté une majorité des grands électeurs mais il est minoritaire en nombre de voix dans le corps électoral.
G. Bush Jr. est l'aîné des enfants du président G Bush Sr. C'est d'abord un homme d'affaires, notamment dans l'exploitation et le commerce du pétrole.
Il a été élu gouverneur du Texas en 1994 et s'impose aux EU comme la figure de proue de ce qu'il a appelé « un conservatisme à visage humain » (...)
[...] La Belgique va s'opposer fermement à toutes implications de l'OTAN dans les opérations qui se préparent. Enfin les Russes qui avaient soutenu l'intervention américaine ne Afghanistan se montrent cette fois-ci hostile à une guerre en Irak. Ce projet de guerre contrevient à leurs intérêts notamment économiques. À l'époque plusieurs entreprises russes sont installées en Irak. Pour les Russes, ce projet de guerre risque de favoriser un islam radical en Russie habitant sur 7 est musulman en Russie). Les Russes craignent que les USA soutiennent le retour de l'Irak sur le marché pétrolier ce qui porterait préjudice à l'économie russe puisque la Russie est le premier producteur de pétrole. [...]
[...] Les spécialistes des questions internationales sont assez peu optimistes sur les résultats de cette conférence. En participant à cette conférence, l'Iran a fait savoir que son objectif était d'aider le gouvernement et le peuple irakien et la Syrie souhaite que l'Irak retrouve une solide stabilité car cela aura des conséquences positives pour elle-même et pour toute la région. Elle veut que les troupes étrangères se retirent d'Irak. Elle ne déclare pas soutenir le gouvernement mais être avec toutes les factions (gouvernement et opposition). [...]
[...] L'Irak est placée au sommet de la liste des opérations préemptives nécessaires parce que, selon l'administration Bush, Saddam Hussein serait en relation avec Al Quaida. Les EU vont alors présenter des preuves devant le Conseil de Sécurité en février 2003. Ces arguments apparaissent assez peu convaincants et seront, par la suite, contestés et remis en cause Bush met en avant la défense par les EU de la démocratie et des libertés qui doit conduire à abattre un régime tyrannique et sanguinaire. [...]
[...] Les EU se donnent ici un devoir d'ingérence, ce qui est nouveau dans leur discours public. Les autres interprétations de l'engagement américain Les motivations américaines soulèvent de nombreuses critiques. Pour certains, l'intervention américaine obéirait avant tout à une motivation idéologique. Les EU chercheraient à asseoir leur puissance ce qui passerait par l'élimination d'un dictateur qui, depuis la première guerre du Golfe, s'est opposé aux EU et ce faisant imposer leur modèle démocratique à cette partie du monde. Il y aurait aussi des motivations économiques liées au pétrole. [...]
[...] Bush a renouvelé son entourage en 2006 notamment quelques vieux Républicains ont été appelés à la rescousse (se substituer aux néo- conservateurs). Ce sont des gens comme Kissinger, négociateur de la fin de la guerre du Vietnam à l'époque de Nixon, James Baker, ancien secrétaire d'Etat de G. Bush père et conseiller de Reagan. De ces consultations, il est sorti un rapport, le rapport Baker, en décembre 2006. Il est assez critique. Il souligne les impasses de certaines options possibles entre lesquelles le gouvernement US hésite. Le retrait précipité des US. [...]
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