En sociologie les relations internationales sont abordées dans leurs globalités. Cela signifie qu'elles sont analysées dans toute leur composante civile, économique politique, sans distinction entre le domaine interne et international, le juridique ou le non juridique. Cette approche privilégie ce que l'on appelle la société civile. Dans cette conception on peut trouver la définition suivante des relations internationales : « toute manifestation du comportement humain qui prenant naissance d'un coté d'une frontière exerce une action sur le comportement humain de l'autre coté de cette frontière ».
Cette définition voit dans les relations internationales deux choses :
- Un enchevêtrement des rapports noués dans toute sorte de domaine entre divers états.
- Un milieu relationnel de nature particulière que l'on qualifie généralement de société internationale.
Cette Définition correspond à une certaine réalité des relations internationales. Le milieu dans lequel se développent les relations internationales est fait d'interaction réciproque et de réaction en chaîne (...)
[...] La pratique actuelle de la reconnaissance. La reconnaissance comme elle est pratiqué aujourd'hui est une synthèse des deux théories précédentes, il s'agit de faire primer l'effectivité. Ainsi on considérera qu'un Etat existe lorsque les éléments constitutifs de l'Etat sont réunis. Il n'est pas nécessaire qu'il soit reconnu par les autres pour que son existence leurs soit opposable. Les autres Etats, dès qu'un Etat est né, doivent respecter sa souveraineté même s'ils ne l'ont pas reconnu. Pourtant dans la pratique internationale, on constate des reconnaissances prématurées, des refus de reconnaissance ou encore des reconnaissances assorties de conditions. [...]
[...] La sécurité internationale passe en effet par une réduction constante de l'arsenal nucléaire au sein de la communauté internationale. En ce qui concerne la France, la stratégie nucléaire dissocie la dissuasion par l'arme nucléaire de son emploi. Pour la France, la détention de l'arme nucléaire constitue un élément capital de son indépendance vis-à-vis des puissances internationale, il s'agit d'ailleurs d'une indépendance qui est à la fois politique et militaire. On peut définir la doctrine nucléaire française par la volonté et la capacité de faire redouter à son adversaire des dommages inacceptables hors de proportion avec l'enjeu du conflit si celui-ci cherche à atteindre les intérêts vitaux de la France. [...]
[...] Les relations internationales définies par le droit. Il s'agit des relations par lesquels les États s'efforcent d'ajuster leurs intérêts. Ces relations qui sont à l'origine des relations entre état pourront prendre des formes diverses. - Des relations conventionnelles par des traités ou accord traité de commerce, de paix) - Des relations institutionnelles par la création d'organisation internationale comme l'ONU. Toutes ces relations sont des relations qui se nouant au sein de la société international y font apparaître la nécessité de règle juridique car il n'est pas de société sans une forme de droit tant au niveau international qu'au niveau de chaque État. [...]
[...] Cet organe avait pour mission de faire des propositions en vue de création de juridictions criminelles internationales. Mais cette commission n'a pas réussi à obtenir l'adhésion des Etats. En 1947, les nations unis crée une nouvelle commission, c'est la CDI, c'est-à-dire Commission du Droit International. Elle sera chargée d'élaborer un code des crimes contre la paix et la sécurité de l'humanité. Entre 1948 et 1959, il y a une compétence en plus, celle de réfléchir à la création d'une cour pénale internationale dotée d'un statut prévoyant une compétence facultative pour juger les personnes physiques accusées d'avoir commis un crime du droit international. [...]
[...] La cours internationale de justice a posé en 1955 la définition internationale de la nationalité. La nationalité est donc l'expression juridique du fait qu'un individu est plus étroitement attaché à la population déterminé. C'est l'Etat qui détermine souverainement les conditions d'attributions de la nationalité, les conséquences de cette attribution au niveau des relations internationales sont variés en particulier il existe alors entre les Etats et ses nationaux un lien d'allégeance. Pour l'Etat il constitue un titre de compétences qui lui permet d'exercé un certain nombre de prérogatives à l'égard des nationaux. [...]
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