Au début le droit communautaire était déjà tentaculaire et il n'a cessé de croître après les années. L'UE cherche à instaurer l'unité sur son continent cependant ces frontières demeurent incertaines, en effet comment distinguer l'Europe de l'Asie ? Le général de Gaulle était un fervent européen et voulait faire l'unité du continent, il parlait de la grande Europe de l'atlantique à l'Oural. L'unité européenne est d'apparence culturelle mais il ne faut pas faire fit de la religion qui y est pour beaucoup dans l'unité. L'unité fut d'abord militaire, juridique, économique : empire romain. Cet empire était universel, il comprenait toute la Méditerranée. On y avait les mêmes juridiques de comportement avec quelques exceptions. La culture latine était tellement forte qu'elle a annihilé les autres cultures : gaulois. On peut même parler d'une culture gréco romaine ou le grec était compris presque partout, cette unité était incarnée par l'empereur. L'empire se métamorphosa dans un premier temps avec le christianisme puis par la suite avec les invasions barbares qui profitèrent de la chute de Rome. On assiste alors à un morcellement de l'Europe avec plusieurs pays différents, c'est surtout l'occident qui paya le prix. L'un des plus grands empereurs : Théodose imposa définitivement le christianisme et ce par la violence policière, c'était la seule religion acceptée. Il divisa son empire en deux à sa mort : Occident et Orient. L'occident ne perdure qu'un petit siècle à la différence de l'orient qui ne se termina qu'en 1453 ou les turcs prirent Constantinople. Les deux empires ont même finis par divorcer sur le plan religieux avec le schisme de 1054. Le pape continuera à être l'autorité spirituelle suprême, il est l'autorité de référence (...)
[...] Ce qui l'intéresse c'est la coopération économique, elle prévoit un véritable gouvernement franco-allemand au moins dans certains domaines de l'économie. Adenaueur était chancelier allemand et salut la déclaration Schuman, cette dernière vise à la sortir de la situation politique catastrophique. En France, il en était autrement, il y avait la gauche radicale (communistes et autres connards de la sorte). La surprise fut totale quand le 9 mai 1950, la déclaration fut rendue publique. Des discussions politiques s'entamèrent, la France, le Benelux, l'Allemagne et l'Italie se montrèrent très satisfaits. [...]
[...] Ce sont les parlementaires qui agissent, c'est la procédure la plus facile et la plus rapide. Dans certains états membres on prévoit la soumission de la ratification du traité de révision à référendum ex ; Irlande, Danemark. Dans d'autres états membres la constitution nationale offre un choix, ex : France. Le chef de l'état peut choisir le cas échéant la voix référendaire. Le peuple français a voté à deux reprises : En septembre 1992 au sujet du traité sur l'UE (Maastricht) : le oui l'emporta. [...]
[...] Ces détracteurs lui oppose une Europe des peuples ou l'UE serait géré non par pas des gouvernements nationaux mais par des institutions continentales. L'opposition principale vient du Benelux qui craignait que le trio France Allemagne Italie ne les marginalise. Ils proposent ainsi de faire adhérer dans la communauté le Royaume uni ce que ne veut pas De Gaulle. Cela mène à nulle part. Le général proposera par la suite à ces pairs des avancements en matière de défense commune des 6. [...]
[...] Il y eut un deal pour couvrir le scandale. D'autres commissaires furent aussi accusés de différents scandales : Cresson avait été accusé de favoritisme outrancier au profit de certains de ces amis. Le conseil a introduit un recours contre elle. Il n'a (le conseil) encore pris aucune décision jusqu'à aujourd'hui. Ces indélicatesses sont de moins en moins tolérées et plus sévèrement réprimés. Les commissaires sont aussi indépendants vis-à-vis des autres commissaires et aussi du président de la commission. Le traité d'Amsterdam a enfin accepté d'examiner sérieusement cette question. [...]
[...] Ses bureaux travaillent partout et recueillent des informations grâce à des ambassades Il y a de tels quasis ambassades à l'étranger. Elle repère les problèmes des différents états membres. La commission peut aussi être informé, notamment par les entreprises qui peuvent en avoir l'obligation. De cette façon elle peut savoir si il y a violation des lois communautaires. Les autres institutions communautaires, els états membres et les particuliers peuvent violer ces lois communautaires. Si al commission constat qu'une violation s'et produite elle peut arrêter des sanctions mais elles ne seront pas les mêmes dans tous els cas. [...]
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