Cours de droit des institutions européennes, expertise des OING, haute autorité commune, CSCE conférence sur la sécurité et la coopération en Europe, OSCE organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, ONU, CESDH Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme, politique, économie, traité, convention de Vienne, communautés européennes, Union européenne, coopération européenne, OTAN Organisation du traité de l'Atlantique nord, OECE Organisation européenne de coopération économique, CEE Communauté économique européenne, Conseil de l'Europe, Traité de Rome, Acte unique européen, constitutionnalisation de l'Union européenne, traité de Maastricht, traité d'Amsterdam, traité de Nice, traité de Lisbonne, arrêt Cohn Bendit, arrêt Perreux, arrêt Ratti, arrêt Marshall, arrêt Meroni, arrêt Koester
Si on remonte dans l'Antiquité, l'Europe trouve son origine dans la mythologie grecque, et notamment dans les écrits du poète Hésiode au VIIIe siècle avant notre ère. Europe était une princesse phénicienne, fille d'un roi libanais, et qui avait de par sa beauté un grand succès auprès des autres familles royales. Le roi de l'Olympe, Zeus, a décidé de l'enlever en se déguisant en taureau blanc en l'emmenant à Crète. Cela amène à une traversée de la Méditerranée. Depuis lors, ce terme s'impose aux Grecs pour désigner les terres du pourtour du bassin méditerranéen.
Sur le plan étymologique, Europe vient de la contraction des mots grecs eurus, qui veut dire "large", et ops qui signifie "regard". Pour d'autres, c'est le terme "ereb" du phénicien qui veut dire "sombre".
L'Europe prend une existence politique sous l'Empire romain.
[...] Les Français ont refusé ce texte à cause de la troisième partie alors qu'elle ne contenait rien de nouveau, mais parce qu'elle formalisait sous forme de constitution les règles de fonctionnement et des politiques de l'Union décidées par les traités. Les grandes lignes de ce texte sont les suivantes. On avait une abrogation des traités antérieurs avec un effet de codification des contenus de ces traités. Cela avait l'avantage de la lisibilité, de la clarification, de la remise à plat de certains principes. [...]
[...] C'est un traité de défense collective pour la zone de l'Atlantique-Nord. L'organisation qui en résulte est politico-militaire avec pour but d'assurer la défense commune et la stabilité du continent européen. L'influence américaine dans la coopération européenne est encore une fois notable. Initialement, il y avait 12 pays. Aujourd'hui, il est composé de 28 états. C'est une organisation intergouvernementale avec une logique de coopération. Le but est une alliance politique et militaire. Le mode de décision est l'unanimité. Ce Traité crée le Conseil de l'Atlantique-Nord, organe de décision de l'Alliance. [...]
[...] Son œuvre a inspiré la construction de l'Europe. C'est un des premiers penseurs du fédéralisme, du dépassement de l'état, de la subsidiarité qui est un principe qui veut que chaque problème politique doive être réglé à l'échelon pertinent et l'autorité supérieure n'intervienne que si elle se révèle plus efficace. Ce principe est une logique de démocratie et de proximité. Concrètement, c'est de dire que les collectivités territoriales peuvent elles-mêmes gérer les problématiques à l'échelle locale, l'autorité supérieure intervient que si elle apporte une plus-value. [...]
[...] C'est la période de la pax Romana. La religion chrétienne commence à s'étendre, et les valeurs grecques se diffusent. Très peu de temps après, autour de l'an 400, l'Europe se scinde en deux, et l'Empire romain perd la partie orientale de l'Empire. L'Europe se recentre donc sur le territoire occidental. Le moyen-âge chrétien Au Moyen-Âge chrétien, des divisions politiques et des problématiques de conciliation entre les pouvoirs spirituel et temporel marquent cette période. En l'an 800, c'est Charlemagne qui est sacré empereur d'Occident par le Pape à Rome. [...]
[...] Elle doit préserver la paix en Europe. La situation de l'Allemagne est très mauvaise après la Première Guerre mondiale, et cela nourrit un nationalisme allemand sur fond d'impérialisme qui va favoriser le IIIe Reich avec l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler. Le pangermanisme, le nationalisme, l'impérialisme sont des conditions propices à l'éclatement de la Seconde Guerre mondiale. L'Europe ressort découpée en deux de ce conflit, l'Europe de l'Est contre l'Europe de l'Ouest, l'Allemagne est partagée, au profit des USA et de l'URSS. [...]
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