Cours sur la coopération économique des États européens souverains. Il existe principalement trois organisations européennes favorisant les échangent économiques des États européens et d'autres États. Alors que certaines ont des moyens et une puissance très importantes, d'autres n'ont qu'un intérêt réduit.
[...] - Récupérer des fonds des Etats membres pour les redistribuer aux pays en développement. (Comité de gestion qui contrôle l'organisation de cette aide et son utilisation. Les Etats membres de l'OCDE ont pour l'instant refusé de verser des fonds. SECTION 2 : L'AELE L'ORIGINE DE L'ORGANISATION Cette organisation a était crée le 4 janvier 1960 à la convention de Stockholm Danemark, Finlande, Norvège, Suède, Autriche, Suisse Portugal). En 1970 l'Islande rejoint l'organisation est en 1991 c'est au tour du Liechtenstein. [...]
[...] - Redéfinir de nouvelles missions. Pour cela il faut ouvrir l'organisation à d'autres Etats. Le 14 décembre 1960 les Etats signent une convention à Paris qui modifie le nom de l'organisation (OCDE). On va encourager les autres Etats à adhérer. En 2005 l'OCDE comprend 37 membres dont le Japon, le Mexique, la nouvelle Zélande, la Corée du sud Les nouveaux objectifs sont : - Emmètre un certains nombres d'analyses macro économique sur la situation des Etats membres. - Coordination économique, politique nationales. [...]
[...] La coopération est le seul moyen de sortir de la crise. L'ORIGINE DE L'ORGANISATION ET SON EVOLUTION Une convention va être signée à Washington le 16 avril 1948 : va naître l'OECE. Cette coopération est imposée aux européens pas les Etats-Unis car ils veulent contrôler la gestion de l'aide financière afin de gérer cette aide en commun. Cette coopération comprend 18 membres : la quasi-totalité des Etats d'Europe occidentale compris la Suisse, la Turquie et les USA). Cette coopération doit renforcer les liaisons au sein de l'Europe occidentale, l'idée de l'économe de marché et cette aide, vise à une débouchée des produits et services américains. [...]
[...] III/ LES MISSIONS DE LA ZONE DE LIBRE ECHANGE ( Harmoniser les différentes politiques économiques nationales des Etats membres AELE et CEE. Soit en imposant aux Etats membres AELE des règlements et directives économiques (c'est un peut une harmonisation forcé). Soit en supprimant les droits de douanes entre les deux espaces économiques et la possibilité pour un agent économique AELE de venir s'installer au sein des Etats membres CE. L'AELE a beaucoup perdu son intérêt car elle n'exerce plus que des missions dictées par les CE (aucune existence autonome). [...]
[...] Cet accord est au profit exclusif des Etats membres des CEE. Il y a cette inégalité car l'AELE compte seulement 4 Etats qui ont une puissance économique moyenne, voire faible. Cet accord prévoit que les Etats membres AELE doivent respecter les règles économiques du D communautaire ; qui leur impose des règles juridiques auxquelles il n'ont pas participés (ex : libre circulation, concurrence). Ce qui engendre un problème politique/juridique : les Etats font partis de l'AELE car ils sont opposés à une organisation supranationale avec cet accord de Porto, non seulement ils sont soumis à ce mécanisme supranational mais dans le même temps ils ne peuvent pas agir sur le système (inconvénients sans avantages). [...]
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