Commentaire (1re licence) sur la représentation politique, la souveraineté populaire et nationale et leurs évolutions.
[...] Ici la souveraineté populaire induit une représentation politique faite par le peuple uniquement. Ces deux idées se complètent parfaitement mais produise un effet néfaste pour un Etat, car le faite que chaque individu possède une part de la souveraineté, divise la souveraineté même, et si nous combinons avec un mandat impératif de l'élu, l'expression le pouvoir au peuple par le peuple sera réellement en place. Ce qui ne semble par être la vision du Marquis de Condorcet car selon lui, Il m'a envoyé (le peuple) pour exposer mes idées, non les siennes D'où la naissance, dans certains esprits modernes, de la notion de compromis de la représentation politique grâce au choix hésitant entre souveraineté nationale et populaire. [...]
[...] La naissance de la notion de compromis de la représentation politique évoluant grâce au choix hésitant entre souveraineté populaire et souveraineté nationale. Des représentations politiques effectuées par un seul et même homme ou par la totalité des individus de la nation étaient des visions beaucoup trop radicales, difficiles à mettre en place et antidémocratiques pour notre société. C'est pourquoi, la représentation politique trouve enfin un juste milieu aboutissant a un mandat représentatif contrôlé et a un compromis entre souveraineté nationale et populaire prévus dans la constitution de 1958 La représentation politique trouve enfin un juste milieu aboutissant à un mandat représentatif contrôlé. [...]
[...] aboutissant au radicalisme opposé, la souveraineté populaire et le mandat impératif. Après la Révolution de 1789, le peuple français en a assez de l'Etat tel qu'il était sous la monarchie. La déclaration de droits de l'homme et du citoyen perçoit l'Etat comme étant un Etat gendarme ce qui signifie que l'initiative et l'action sont désormais du côté des individus. L'Etat n'est là que pour assurer l'ordre et la sécurité à travers diverses administrations. Nous aboutissons à une représentation politique radicalement opposée, la souveraineté populaire est le maître mot à l'époque, selon l'idéal de Jean Jacques Rousseau écrit dans son Contrat Social, l'Etat ne devrait pas avoir de représentants politiques. [...]
[...] La représentation politique varie selon les types de mandats attribués ainsi que selon le genre de souveraineté. Nous allons donc dans un premier temps montrer que dans l'histoire, nous avions durant les régimes fondés sur la souveraineté nationale une représentation politique assez éloignée de intérêts et de la volonté du peuple et que petit a petit on a assisté a l'émergence d'une représentation politique plus poussé, mettant en exergue la souveraineté populaire puis dans un deuxième temps nous allons voir que La naissance de la notion de compromis sur la représentation politique a évolué grâce au choix hésitant entre souveraineté populaire ou nationale et mandats impératif ou représentatif.(2) Une représentation politique du peuple assez éloignée de ses intérêts et de sa volonté fondé sur la souveraineté nationale et l'émergence d'une représentation politique plus poussé, mettant en exergue la souveraineté populaire Comme nous le disions précédemment, dans l'histoire nous avons assisté a différentes formes de représentation politique, il serait donc intéressant de parler des deux extrêmes. [...]
[...] Ce qui a des effets directs sur la représentation politique, l'article 3 de la Constitution énonce La souveraineté nationale appartient au peuple, qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice La représentation politique est exercée par des représentants élus, par le biais du referendum pour des questions primordiales ou délicates mais en aucun cas, quelques individus peuvent changer la souveraineté et s'attribuer l'exercice de la représentation politique. [...]
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