Réforme du quinquennat, quinquennat, suffrage universel direct, mandat présidentiel, Jacques Chirac, institution présidentielle, président de la République, chef de l'État, Jean-Michel Blanquer, élections présidentielles, présidentialisation
« Le président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct ». Cette loi constitutionnelle du mandat du président de la République est promulguée dans la Constitution à l'article 6 alinéa premier depuis le 2 octobre 2000.
Instituée sous la présidence de Jacques Chirac, cette révision fut longue à se dessiner.
Initialement fixé pour une durée de sept ans, le mandat présidentiel a connu un toilettage réduisant sa durée à cinq ans.
[...] La réforme du quinquennat est-elle démocratique ? président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct ». Cette loi constitutionnelle du mandat du président de la République est promulguée dans la Constitution à l'article 6 alinéa premier depuis le 2 octobre 2000. Instituée sous la présidence de Jacques Chirac, cette révision fut longue à se dessiner. Initialement fixé pour une durée de sept ans, le mandat présidentiel a connu un toilettage réduisant sa durée à cinq ans. [...]
[...] Sachant que le président de la République à la faculté de détenir depuis cette réforme, une majorité lui permettant de gouverner utilisé le mécanisme et la dissolution de l'Assemblée nationale serait illogique. Il convient donc de dire que celui-ci entre en obsolescence. Depuis la réforme du quinquennat, et qu'un président détient la majorité à l'Assemblée nationale, celui-ci n'a jamais dissous l'hémicycle, car il est en posture idéale pour senser faire avancer sa politique. Réciproquement, l'Assemblée nationale n'a pas d'intérêt à mettre en jeu la responsabilité du gouvernement en déposant une motion de censure, car elle est se doit de soutenir le gouvernement. [...]
[...] Il est important de relever que l'essentiel du débat s'organise entre ces deux parties de l'échiquier politique. Il y a donc un débat que l'on peut qualifier d'imparfait, car ce sont toujours les mêmes idées qui reviennent en jeu. On pourrait faire la même remarque au niveau du personnel politique qui ne reste inchangé. C'est pour cela que l'on qualifie cela d'une bipolarisation politique. Le quinquennat peut-être qualifié aussi d'imparfait de par l'hégémonie du président de la République ainsi que par le trouble institutionnel qu'il laisse paraître. [...]
[...] Une durée de mandat imparfaite Comme énoncé précédemment, la réforme du quinquennat prône un souffle démocratique, mais elle reste sur des points imparfaits. Il conviendra d'évoquer la place importante du président de la République dans ce quinquennat avant d'analyser le dysfonctionnement institutionnel A Une prépondérance du président de la République La particularité de la réforme du quinquennat est qu'elle fait apparaître l'hégémonie du Président de la République. Celle-ci est perceptible par la présendialisation du quinquennat ainsi que par la désuétude des mécanismes de responsabilité Une présidentialisation du quinquennat Il convient tout d'abord de définir la présidentialisation. [...]
[...] Mais lors du développement, il a été perceptible de voir que le quinquennat favoriser une majorité. C'est pour cela que l'on peut appuyer sur ce point en dénonçant cette prépondérance du président de la république comme imparfaite à une démocratie prônée. Pour montrer cette durée de mandat imparfaite, il convient de revenir sur le dysfonctionnement institutionnel lié au quinquennat B. Un dysfonctionnement institutionnel 1 Une qualité du quinquennat relative Instauré le 2 octobre 2000, le quinquennat instaure comme son nom l'indique un mandat présidentiel de cinq ans. [...]
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