Partie nous parlerons des réformes de décentralisation et dans une deuxièmement partie, nous analyserons d'autres reformes constitutionnelles.
Le Royaume-Uni est un pays de l'Union Européenne avec une monarchie constitutionnelle et un parlement bicaméral. Il est composé de quatre pays : l'Angleterre, l'Irlande du Nord, L'Ecosse et le pays de Galles. On dit souvent que le Royaume-Uni n'a pas de constitution, mais cela n'est pas vrai. Le Royaume-Uni a une constitution, mais qui n'est pas écrite plus précisément n'est pas réunie dans un texte unique, et donc, plus populairement, on dit que c'est une constitution orale. Mais du au fait que la constitution n'est pas écrite, elle est beaucoup plus flexible. Il suffit au Parlement de Westminster d'avoir une majorité simple dans les deux chambres pour voter un acte parlementaire qui aura une valeur de constitution. La constitution anglaise a été modifiée beaucoup de fois dans le 20e siècle. Margaret Thatcher avait commencé à renforcer la centralisation alors que le gouvernement travailliste des années 1990-2000 a lutté pour la ‘devolution'. On pourrait aussi préciser les reformes dans la chambre des Lords (House of Lords) adoptés au 20e siècle, et plus précisément celles de l'année 1999. La question qui se pose, après toutes ces reformes est : est-ce que les reformes constitutionnelles au Royaume-Uni rendent le pays plus démocratique ?
[...] Devolution un retour aux racines. Depuis le 18e siècle, le Royaume-Uni a commencé à centraliser le pouvoir. Grâce aux Acte of Union ou bien à d'autres actes du 20e siècle, l'Angleterre commence à devenir le pays le plus centralisé. Mais tout cela change avec le gouvernement travailliste qui défend l'idée d'un pays décentralisé et démocratique. À/L'histoire de la centralisation au Royaume-Uni et les engagements de Margaret Thatcher. La centralisation a commencé au début du 18e siècle, avec l'union définitive de l'Angleterre et de l'Écosse. [...]
[...] On voulait changer le système d'élection. En 2007, la chambre des commues voulait passer la loi qui fait que les membres de la chambre soient élus ou bien élus et désignés. Mais comme la chambre des lords est la chambre législative plus haute, ses membres ont rejeté la réforme. On se pose la question sur le fait qu'un corps législatif a rejeté une loi qui le concerne. Se pose alors la question du fondement démocratique et de légitimité de ce rejet. [...]
[...] Mais dû au fait que la constitution n'est pas écrite, elle est beaucoup plus flexible. Il suffit au Parlement de Westminster d'avoir une majorité simple dans les deux chambres pour voter un acte parlementaire qui aura une valeur de constitution. La constitution anglaise a été modifiée beaucoup de fois dans le 20e siècle. Margaret Thatcher avait commencé à renforcer la centralisation alors que le gouvernement travailliste des années 1990-2000 a lutté pour la dévolution On pourrait aussi préciser les reformes dans la chambre des Lords (House of Lords) adoptés au 20e siècle, et plus précisément celles de l'année 1999. [...]
[...] Le parti travailliste est guidé par l'idée que le gouvernement décentralisé donne plus de pouvoir aux régions et donc aux peuples, ce qui veut dire que la vie politique devient beaucoup plus dynamique car on peut faire les choses beaucoup plus vite. Mais la dévolution ne s'est pas produite dans tout le pays. Par conséquent de la population du Royaume-Uni n'a pas de corps gouvernemental régional. Suite au White Paper de 2002, on assiste à une création de gouvernements locaux. En tout 8 localités sont choisies. [...]
[...] Les autres réformes. La dévolution n'est pas la seule réforme entreprise par le gouvernement. D'autres reformes comme celle de la monarchie et des prérogatives royales ou bien le service civil ou encore la loi électorale, les réformes dues à l'intégration européenne ou encore la reforme de la chambre des lords. À/les autres réformes. Bien d'autres reformes sont entreprises. On peut remarquer le réforme de la prérogative royale au Parlement. Elle permet au gouvernement d'entreprendre une série d'actions au nom de la couronne. [...]
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