pouvoirs du président américain, séparation stricte des pouvoirs, Constitution américaine, pouvoir exécutif, droit de véto, système constitutionnel américain, régime présidentiel américain, déclaration d'indépendance des États-Unis, Checks and Balances, article II section 1 de la Constitution américaine, diplomatie, pouvoir réglementaire, chef des armées, article I section 1 de la Constitution américaine, droit de message, article III section 1 de la Constitution américaine, nomination des juges, impeachment, Watergate
Il convient de constater que le régime américain est basé théoriquement sur une séparation stricte des pouvoirs instaurée par les pères fondateurs de la Constitution américaine du 17 septembre 1787, qui avaient pour crainte de la concentration du pouvoir sur une seule personne et peur d'un régime ou un roi serait tout puissant. Mais qu'en est-il de la pratique ? Le président américain, théoriquement, n'est que le chef du pouvoir exécutif, mais, en pratique, il peut faire pression sur le pouvoir judiciaire et possède aussi un droit de veto suspensif sur le pouvoir législatif.
[...] Il est, par conséquent, le chef de l'État et le chef du gouvernement ; et le pouvoir judiciaire détenu par la Cour Suprême de justice. Il convient de constater que le régime américain est basé théoriquement sur une séparation stricte des pouvoirs instaurée par les pères fondateurs de la Constitution américaine du 17 septembre 1787, qui avaient pour crainte de la concentration du pouvoir sur une seule personne et peur d'un régime ou un roi serait tout puissant. Mais qu'en est-il de la pratique ? [...]
[...] - Mais le président américain a le pouvoir de nommer les juges de la Cour suprême à vie, mais sous l'accord du congrès (exemple : Merrick Garland proposé par le Président B. Obama, mais refusé par le Congrès ou bien récemment la nomination du juge Amy Coney Barrett le 27 octobre 2020 sous le mandat de D. Trump) - Cependant, il existe la procédure d'impeachment, qui est une procédure pénale : invoqué pour motif de trahison, corruption ou autre délit majeur. [...]
[...] - Le Président est aussi le chef de la diplomatie, il nomme les ambassadeurs et ratifie les traités - Et enfin, il dispose du pouvoir réglementaire = le pouvoir d'appliquer les lois, d'exercer sa fonction exécutive II) En pratique, quelques moyens pour le président américain de contourner cette séparation rigide Certes, dans le régime présidentiel, il y a une séparation stricte des pouvoirs, mais le Président américain peut quelquefois exercer une pression sur le pouvoir législatif mais aussi sur le pouvoir judiciaire Le pouvoir législatif sous pression du président américain - Article premier Section 1 de la Constitution américaine « Tous les pouvoirs législatifs accordés par la présente Constitution seront attribués à un Congrès des États-Unis, qui sera composé d'un Sénat et d'une Chambre des représentants » = Le pouvoir législatif appartient seulement au Congrès. - Mais le Président peut faire une initiative indirecte : il peut demander à un membre du Congrès de faire une proposition de loi qui vient de son initiative. [...]
[...] Le président américain, théoriquement, n'est que le chef du pouvoir exécutif, mais, en pratique, il peut faire pression sur le pouvoir judiciaire et possède aussi un droit de veto suspensif sur le pouvoir législatif. Il est donc intéressant d'étudier ce régime présidentiel ainsi que le ou les pouvoirs attribués au président américain. Par conséquent, il convient de se demander si le président américain a tous les pouvoirs. Il est ainsi pertinent d'étudier la stabilité du régime américain par une séparation stricte des pouvoirs puis, en pratique, des moyens pour le président américain de contourner cette séparation rigide II. [...]
[...] Trump : il est accusé d'avoir violé la Constitution pour obtenir des services du Président ukrainien pour enquêter sur le fils de Joe Biden, mais le Sénat n'a pas voté à une destitution avec une forte majorité. L'affaire B. Clinton, le « Monicagate » pour « parjure » et « entrave à la justice » en 1999, mais le Sénat, là aussi, n'a pas voté pour la destitution du 42e Président américain. L'affaire, en 1974, du Watergate (espionnage politique) : cette fois-ci, le président Nixon a démissionné avant le jugement du Sénat. [...]
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