Organisation du régime parlementaire, Parlement, démocratie, partis politiques, gouvernement, pouvoir exécutif, séparation des pouvoirs, égalité des partis, chambre des Lords, chambre des communes
Comme l'explique très bien le lexique des termes juridiques, nous allons parler aujourd'hui du régime parlementaire, mais plus précisément des caractéristiques du régime parlementaire. Mais comment est organisé le régime parlementaire ? Quelles sont les égalités des parties ? Pour cela, nous allons voir premièrement l'organisation du régime et les actions exercées par les partis puis les égalités des partis et leurs collaborations.
[...] La collaboration des partis Les organes se partagent la souveraineté. Les deux réunis, ils ne font plus qu'un tel est la devise anglaise. Cette devise appartient à une vieille règle anglaise qui dit que le « droit ne fait qu'un » et « comprend dans son unité la couronne, la chambre des lords et la Chambre des communes ». Même si elle ne correspond plus trop au parlement actuel. On voit que l'extrait parle de ces deux organes, le gouvernement qui comprend la royauté par « la couronne » donc le côté exécutif puis « la chambre des lords et la Chambre des communes » pour les chambres hautes et basses donc le côté législatif. [...]
[...] Mais on voit que dans les deux sens, une infériorité d'un parti peut mener à la perte de l'équilibre d'un régime. Et en devenir indirectement une dictature où, une partie fait sa loi sans le consentement de l'autre. Le gouvernement et le parlement sont aussi imbriqués parfaitement. Ils ne remplissent pas les mêmes fonctions ou pas au même degré. Comme on ne parle pas de séparation de pouvoir, on parlera de répartition de pouvoir. [...]
[...] Comment est organisé le régime parlementaire ? « Dans une démocratie, la personne d'un parlementaire est intouchable », dit par Jean-Luc Mélenchon lors d'une perquisition à son domicile en 2018. Il fait allusion étroitement au régime parlementaire, « régime politique de collaboration équilibrée de pouvoirs, issus de la pratique britannique au cours du XVIIIe siècle, dans lequel le gouvernement et la majorité parlementaire dont il est issu travaillant en confiance, mais disposent, en cas de difficultés, de moyens d'action réciproques, le Parlement pouvant mettre en jeu la responsabilité politique du gouvernement (le chef de l'État étant, lui, irresponsable) et le gouvernement décider la dissolution du parlement ». [...]
[...] Donc dans cet extrait, on perçoit que le gouvernement est l'aspect exécutif de la société, mais est quand même, à une faible échéance du côté législatif. Il présente des exceptions qui le prouve, le droit de convoquer, d'ajourner, etc. Mais son arme fatale est la dissolution du Parlement. Le gouvernement peut se permettre à tous moments de dissoudre le Parlement donc à effectuer de nouvelles élections pour en reconstituer un nouveau. Pour éviter toute utilisation abusive et sans but précis, le parlement possède aussi une arme fatale. Elle peut désapprouver une politique du gouvernement et donc d'obliger le gouvernement à se retirer. [...]
[...] Le régime parlementaire présente aussi une limite sous cette forme. B. L'égalité des partis Le régime montre une limite, car pour fonctionner normalement, il faut que les deux organes soient en « influence et prestige » égal (quelle que soit l'origine du parti). Exemple, si le Parlement se trouve inférieur au chef d'État, à qui est relié le gouvernement. La montée en puissance de celui-ci fera place à une « dictature personnelle ». « Si le parlement se trouve, pour une raison ou une autre, dans une situation d'infériorité à l'égard du chef de l'État personnifiant le gouvernement, l'équilibre est rompu et le régime parlementaire fait bientôt place à la dictature personnelle ». [...]
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