Une nation, comme nous l'explique Ernest Renan, est un principe spirituel, immatériel mais avant tout une institution composée d'homme, libre d'appartenir à la communauté, dont il choisit les critères sociaux et linguistiques.
C'est cette idée de la nation qu'Ernest Renan expose dans un premier temps en tentent d'établir sa propre conception de la nation (bases de cette institution, principes, visions humaine à lui consacrer), avant de proposer, lors du règlement des frontières, une consultation directe de l'avis des populations concerné, plutôt qu'une démarche traditionnel préconisant une certaine diplomatie et la guerre (...)
[...] L'affirmation de la conception élective de la nation Ernest Renan rappel la possession d'un passé d'une nation qui se base sur un ensemble de souvenir parfois douloureux, mais aussi parfois glorieux. D'ailleurs les deuils valent mieux que les triomphes car ils imposent des devoirs, ils commandent l'effort en commun Les moments difficiles peuvent, grâce à cette dernière, plus facilement surmontable, en ce sens que l'union des individus et la solidarité qui en découle rende plus fort la nation ce qui renforce la cohésion sociale et donc qui nourrit l'idée de la nation. [...]
[...] C'est cette idée de la nation qu'Ernest Renan expose dans un premier temps en tentent d'établir sa propre conception de la nation (bases de cette institution, principes, visions humaine à lui consacrer), avant de proposer, lors du règlement des frontières, une consultation directe de l'avis des populations concerné, plutôt qu'une démarche traditionnel préconisant une certaine diplomatie et la guerre. I. La conception de la nation d'Ernest Renan A. La réfutation de la thèse d'une nation d définie sur l'appartenance automatique à une communauté Ernest Renaud dresse rapidement un premier tableau de la nation à laquelle il lui octroie une âme et un principe spirituelle. [...]
[...] La diplomatie consiste à tempérer ses paroles, faire des accords qui permettent une bonne entente entre les nations, mais au-dessus des peuples, dans le secret des couloirs des palais. Cette conception de la nation, idéaliste pour les politiciens est défendue dans la seconde partie de ce dialogue, marqué par une apostrophe lancée au public, en signe de patience et tempérance. Avec ironie, Renan laisse entendre que les ceux qui détiennent le pouvoir décisionnel, reviendront aux alternatives proposées par les populations et ce, poussés par le dépit. [...]
[...] Renan clôt sa conférence sur un dialogue, ou tout au moins un simulacre entre les politiciens et ce qui semble être la réponse de Renan. Si l'on se penche sur les propos des politiciens, ils reprochent aux hommes, armés de “chétives idées” telles que la solidarité ou la conscience morale liées à la nation, de vouloir remplacer la diplomatie et la guerre, principes qui rythment les rapports entre les nations depuis toujours. Il assimile le fait d'avoir raison, la vérité, à une mode, qui suppose que ses critères sont changeants et que c'est la relativité du point de vue qui justifie sa justesse et non un raisonnement élaboré. [...]
[...] De plus, plus le passé de la nation est riche en événement, plus le sentiment de nation devient fort. Le passé héroïque, des grands hommes, de la gloire constitue dès lors, le capital sociale et part de là, le sentiment de nationalisme. En ce sens qu'il se développe chez les hommes une pensé commune ainsi qu'un sentiment d'appartenance à un groupe. C'est alors le moment, pour Ernest Renan de préciser d'avantage sa conception de la nation qu'il défini ; dans un premier temps comme le peuple, c'est-à-dire un ensemble d'individus qui partage un passé commun, une langue commune, des racines et intérêts commun. [...]
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