Le Commonwealth a été crée en 1931. L'expression a été utilisée pour la première fois en 1926 pour désigner « l'association des communautés autonomes composée de la Grande-Bretagne et de ses dominions ». Le Commonwealth réunit 54 nations souveraines et quelques territoires dépendants. A l'exception du Mozambique, tous les pays du Commonwealth sont des anciennes colonies britanniques. Les relations entre le Commonwealth et la Grande Bretagne sont assurées par le Foreign and Commonwealth Office (Bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth) et les ministres des affaires étrangères de chaque Nation. Qu'est-ce que le Commonwealth aujourd'hui ? S'agit-il d'un moyen pour la Grande-Bretagne de conserver une emprise sur ses anciennes colonies ? Le Commonwealth a-t-il encore une utilité ou n'est-ce qu'une association symbolique sans portée politique ?
[...] Qu'est-ce que le Commonwealth aujourd'hui ? Le Commonwealth a été créé en 1931. L'expression a été utilisée pour la première fois en 1926 pour désigner l'association des communautés autonomes composée de la Grande-Bretagne et de ses dominions Le Commonwealth réunit 54 nations souveraines et quelques territoires dépendants. À l'exception du Mozambique, tous les pays du Commonwealth sont des anciennes colonies britanniques. Les relations entre le Commonwealth et la Grande-Bretagne sont assurées par le Foreign and Commonwealth Office (Bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth) et les ministres des affaires étrangères de chaque Nation. [...]
[...] En effet lorsqu'un membre mène une politique réprimandable il est exclu du Commonwealth. Conclusion Nous pouvons donc dire que le Commonwealth a évolué. Il est passé du statut d'une association de colonies à une association d'états souverains permettant l'entraide entre les pays membres. Si toutefois cette association n'a pas les moyens de mener des politiques de très grande envergure ni d'assurer le bon fonctionnement de la démocratie dans tous les pays membres, elle reste un atout qui apporte une aide non négligeable. [...]
[...] En effet les pays membres ne sont liés que par des intérêts communs et par aucun traité. En conséquence, il n'y a aucune obligation pour les pays membres d'en aider un autre. Le chef du Commonwealth est Elisabeth II depuis 1952, ce qui peut être considéré comme une mesure impérialiste de la part de la Grande-Bretagne. Il avait pour but de donner plus d'autonomie à des colonies de l'Empire Britannique ce qui n'a plus lieu d'être aujourd'hui étant donné que cet Empire n'existe plus. [...]
[...] Il apparaît donc que le Commonwealth mène des politiques réelles apportant de l'aide aux pays membres. Une influence réciproque et bénéfique Même s'il est vrai que c'est le monarque britannique qui est le chef du Commonwealth, il s'agit d'un rôle honorifique. La reine est présente à chaque réunion, mais ne participe pas aux débats. Par ailleurs depuis 1971, les réunions ont lieu chaque année dans un pays différent et le chef du pays qui accueille est alors président de la réunion. [...]
[...] Cependant, il semble que le Commonwealth a su se réformer pour répondre aux attentes contemporaines. II. Une association qui apporte une aide réelle à ses membres et qui n'est pas seulement utile pour le poids diplomatique de la Grande-Bretagne Des réformes qui permettent une action concrète En 1971, la Singapore Declaration of Commonwealth Principles est signée. Elle établit que les pays membres sont supposés respecter les Droits de l'Homme ainsi que l'égalité raciale et économique. Même s'il n'existe pas de moyens concrets pour faire respecter cette déclaration, elle engage un devoir moral qui a une portée non négligeable surtout pour les pays en voie de développement. [...]
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