Constitutionnalisme moderne, affirmation de la souveraineté, limitation du pouvoir de l'Etat, pouvoir constituant, pouvoir dérivé, Constitution, Code civil, fonctions publiques, Jean-Jacques Rousseau, séparation des pouvoirs, libéralisme
"On suppose d'abord que le gouvernement sera tel qu'on le désire. On voit toujours en lui un allié, sans réfléchir qu'il peut devenir un ennemi", Benjamin Constant. Le constitutionnalisme serait comme un courant de pensée qui vise à organiser le pouvoir politique de l'État en le cadrant par un ensemble de règles dites "constitutionnelles" que l'on retrouve dans la Constitution afin de définir l'État et son régime. Depuis la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, la Constitution apparait comme une norme supérieure tandis que ses principes fondateurs ont évolué depuis les dernières décennies.
[...] MONTESQUIEU tente de dégager la logique des différentes institutions politiques par l'étude de lois tout en défendant le principe de la séparation des pouvoirs. Pour lui, la démocratie est forcément représentative, car la nation ne peut faire sa loi, il condamne la nation directe parce que sa vision vise à la souveraineté. La liberté politique n'est pas de faire ce que l'on veut, MONTESQUIEU écrit dans son livre De l'esprit des lois en 1748, le peuple parait faire ce qu'il veut : mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut. [...]
[...] Le caractère suprême de la Constitution implique en général que sa révision soit plus difficile que l'adoption d'une loi ordinaire, la Constitution déterminée le plus souvent la manière dont elle peut être révisée, la Constitution peut être aussi purement et simplement remplacée ou crée. Le constitutionnalisme serait souverain dans la limite qu'il s'impose avec la séparation des pouvoirs pour éviter des excès ou des abus. On peut se pencher sur la légitimité de cette notion, si elle permet un état d'équilibre, et ce qu'il en résulte dans la pratique. [...]
[...] Le constitutionnalisme moderne : tension entre affirmation de la souveraineté et limitation du pouvoir de l'Etat On suppose d'abord que le gouvernement sera tel qu'on le désire. On voit toujours en lui un allié, sans réfléchir qu'il peut devenir un ennemi , Benjamin Constant. Le constitutionnalisme serait comme un courant de pensée qui vise à organiser le pouvoir politique de l'État en le cadrant par un ensemble de règles dites constitutionnelles que l'on retrouve dans la Constitution afin de définir l'État et son régime. [...]
[...] Ici, il s'agit des modalités d'exercice de la souveraineté interne, car on se concentre sur la question suivante : qui est la source du pouvoir ? En effet, l'État est une entité abstraite - personne n'a déjà rencontré l'État donc l'État ne peut pas exercer concrètement la souveraineté sur son territoire, on dira que c'est la nation : le peuple qui exerce par leur souveraineté nationale et populaire. Auprès de la souveraineté populaire, Jean-Jacques ROUSSEAU considère que la Constitution est un organe concret et que c'est à lui que revient d'exercer la souveraineté. [...]
[...] Le contrôle constitutionnel et la justice constitutionnelle garantissent un pouvoir suprême à la Constitution, mais en limitant le pouvoir de l'État. Plus concentrer sur le rationalisme, Max WEBER considère que seul l'État est supposé encadrer la liberté de l'homme ou la limiter. Cependant, la naissance de l'état est un accord entre les hommes, durable - transférer tout leur pouvoir a un seul homme ou une assemble est dans le but de former une réelle unité, les hommes ont sacrifié leur état de parfaite liberté naturel pour. [...]
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