Le Droit public est plutôt caractérisé par l'inégalité. Cette inégalité est critiquable. L'inégalité est présente dans la nature. Le critère du Droit public est l'inégalité parce qu'il organise les relations entre le gouvernant et le gouverné en mettant en place un tiers qui est le souverain, c'est-à-dire celui qui a le droit du dernier mot. Ce rapport entre gouvernant et gouverné est un rapport inégal même si le gouverné doit consentir aux décisions prises par le souverain. Mais qui est le souverain ? Nous avons différents types de souverain : roi, la Nation, etc. C'est un débat des peuples à savoir qui est le souverain. Nous avons donc bien un rapport d'inégalité à un moment ou à un autre.
[...] Il est alors déchu de son titre. On le considère alors comme un félon. Quant au suzerain, il doit le protéger et garantir le modèle de sa famille féodale. Section II : le modèle de la respublica I. Les modèles antiques A. Les républiques aristocratiques de l'antiquité Dans l'histoire européenne, nous avons un lien fort entre avoir le pouvoir et le fait d'accepter de mourir pour le groupe Les républiques de l'antiquité sont des républiques aristocratiques puisqu'elles sont gouvernées par ceux qui veulent mourir pour le peuple. [...]
[...] Le droit constitutionnel, ensemble de normes. Que sont les normes ? Les normes sont des actes qui s'imposent, mais qui portent en elles ce qui doit être. La norme relève du devoir être ou du devoir faire. La norme est d'un niveau supérieur à ce qui est d'une simple règle. C'est la raison pour laquelle on parle de hiérarchie des normes ou de pyramide des normes c'est-à-dire que les normes n'ont pas la même autorité. Au sommet de cette hiérarchie des normes, nous avons la Constitution. [...]
[...] La souveraineté est un principe qui permet d'exercer la puissance publique pour refuser toute ingérence intérieure et briser toute concurrence extérieure. Cet exercice est légitime puisqu'il est consenti. La légitimité des gouvernants vient du fait qu'ils ont été désignés par le souverain. Ils ont une autorité (pouvoir consenti) du fait qu'ils ont été désignés selon des mécanismes juridiques auxquels le souverain a consenti. On assiste peu à peu une personnalisation du pouvoir qui se fait par les médias. Le point de jonction se fait par la personnalisation du pouvoir politique, préparé par les médias. [...]
[...] Cette mission affectée au pouvoir et celle qui est affectée à tous les pouvoirs est d'assurer la défense extérieure du groupe. Elle existe aussi dans le cadre du pouvoir institutionnalisé. Le pouvoir détient cette double mission assurée au titre d'un principe (la souveraineté) et des humains. Le principe est celui de la souveraineté et ceux qui sont chargés de la mettre en œuvre sont les gouvernés. A. Souverains et gouvernés Quelle est la qualité du souverain ? Le souverain est celui qui détient la souveraineté. [...]
[...] Dans l'Etat il y a un souverain qui a cette qualité de souveraineté. Mais pour que justement il puisse la mettre en œuvre, il accorde à l'Etat cette qualité de souveraineté pour que l'Etat puisse accomplir ce que le souverain souhaite. Or, ce qui compte c'est évidemment le souverain. Supposons qu'il y ait une guerre, un Etat est envahi : il perd donc sa capacité de souveraineté, mais le souverain n'a pas disparu et va continuer à agir pour retrouver ou veiller à ce que l'Etat récupère sa souveraineté et qu'il exerce sa souveraineté par le biais de l'Etat. [...]
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