Platon distingue trois régimes politiques : la monarchie, l'oligarchie et la démocratie.
On utilise le critère de participation à l'exercice d'un pouvoir. Le nombre n'est pas seulement un chiffre, c'est quelque chose qui va beaucoup plus loin que ça. C'est un critère de fonctionnement. Donc, il y a une valeur de connaissance à la classification (va exister sur des siècles). La distinction entre la monarchie et l'oligarchie est une distinction fondée.
Les rapports juridiques qui existent entre les pouvoirs sont-ils cherchés ? En principe, il est quasiment rapproché de la théorie de la séparation des pouvoirs de Montesquieu : on lui donne cette séparation même si c'est compliqué (...)
[...] Ce sont deux conditions cumulatives. La classification entre le régime parlementaire et le régime présidentiel n'est pas très bon dans certaines de ses versions. Les critères de classification changent d'une version à une autre : élection du président au suffrage universel dans le régime présidentiel, moyens d'action réciproques ou non. Un régime parlementaire présente certaines caractéristiques du régime présidentiel en ce qui concerne le mode de désignation du chef de l'exécutif : il ne peut donc pas être classé. Pour que la classification soit bonne, il faut s'en tenir à un seul critère. [...]
[...] Ce personnage unique a le pouvoir constitutionnel de s'opposer à la volonté du Congrès. Les autres idées dans le système américain de la balance des pouvoirs : * entrée en vigueur des traités internationaux : la politique étrangère suppose des décisions au jour le jour et repose sur les traités internationaux . Aux Etats-Unis, le président signe les traités. Ils doivent être ratifiés, c'est-à-dire votés par le Sénat à la majorité des deux tiers. Une part importante de la politique étrangère suppose un accord entre le président et le Sénat. [...]
[...] * Système constitutionnel français de 1791. C'est un système qui, sur un plan historique, est sur le même plan que la constitution américaine. Ce sont les mêmes manières de penser qui imprègnent le système constitutionnel américain et le système constitutionnel français de 1791. Parenté historique. Adaptation : le président américain, c'est le roi français (héréditaire). Dans la constitution de 1791, la fonction législative est attribuée à un corps législatif. Celui-ci vote des textes, appelés décrets. Pour qu'un décret devienne une loi, il doit être transmis au roi, qui y apporte sa sanction, c'est-à-dire qu'il l'approuve. [...]
[...] Mais la constitution prévoit la possibilité de condamner le président pour des raisons pénales trahison, corruption ou autre crime ou délit grave Le président peut donc être jugé et condamné. Il peut donc être destitué. Dans le système américain, tous les fonctionnaires sont susceptibles d'être touchés par cette disposition. C'est une responsabilité pénale et non politique. Ce n'est donc pas une remise en cause de l'indépendance. Le président est indépendant dans l'exercice de sa fonction exécutive. De plus, sa rémunération ne peut être ni augmentée ni diminuée pendant son mandat. Le Congrès ne peut donc pas ni menacer le président ni l'encourager à prendre une décision plutôt qu'un autre. [...]
[...] Le régime parlementaire Version souple de la séparation des pouvoirs. Grande-Bretagne = archétype du régime parlementaire. Le système britannique fonctionne selon un certain schéma qui va donner naissance au régime parlementaire. * Les organes sont spécialisés. La chambre des Lords de la chambre des communes exercent les fonctions législatives. Le roi et le cabinet exercent les fonctions exécutives. Le parlement, c'est la chambre des communes, la chambre des Lords et le roi . Quelle est l'expression du pouvoir législatif du roi? [...]
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