La notion d'Etat - publié le 06/03/2012

Extraits

[...] Du côté de la souveraineté extérieure la seconde moitié du XXème et le début du XXIème siècle montre le maintient dans les pratiques économiques et politiques des situations dans lesquelles la souveraineté externe de l'État n'existait pas. Dans le passé, c'était mieux car la souveraineté limité été théorisée alors qu'aujourd'hui, il n'y a que la théorisation de la domination de l'argent et du pouvoir économique, ce qui conduit à des attentes à la souveraineté économique et politique dans de nombreux États où l'on affirme la défense du contrôle sur les affaires interne de l'État tout en laissant les multinationales dominer le pouvoir économique et politique. [...]

[...] b - La souveraineté extérieure C'est la capacité de faire entendre sa voie sur la scène internationale pour défendre le pays et éviter un néocolonialisme économique par lequel un État continu à se soumettre en partie à l'ancien colonisateur - Les limites de la souveraineté Chaque souveraineté intérieure et extérieure est soumise à des limitations qui l'empêche d'être véritable sinon existant dû moins rayonnant. En matière de souveraineté intérieure, il y a en permanence des conflits sociaux qui mine les pays avec des grèves ou des manifestations. Elle n'est donc pas garantie. [...]

[...] La difficulté était de délimiter une frontière, aujourd'hui, les moyens de mesure permettent de savoir en plein cœur du Sahara si on est sur la frontière d'un État ou non - L'espace maritime a - Les eaux intérieurs Il s'agit ici des eaux qui sont à l'intérieur de l'État comme les lacs, les fleuves, etc . Il s'agit aussi des eaux qui sont dans la zone côtière intégrée c'est à dire à l'intérieur des lignes de base qui vienne joindre les points les plus éloigné des côtes. Ces eaux sont soumises au même contrôle que l'espace terrestre de l'État. b - La mer territoriale Elle se situe entre les lignes de base et les largueur de 12 mille marin. [...]

[...] Quant un processus lui même est conduit à souligner qu'apparaisse d'un côté ce qui obéisse au règle et de l'autre, ce qui dicte les règles, le gouvernant et obligatoirement écouter par celui qui exécute les règles, le gouverné. Le pouvoir organisé détient le monopole de la contrainte, il va imposer son autorité absolue avec cependant une certaines limite suivant les États ou les Constitutions. Les fonctions d'autorité les plus importantes sont celle qui manque le plus, ainsi le pouvoir de juger, d'ordonner, militaire, de police. On utilise un terme englobant qui est le terme de puissance publique. [...]

[...] Tout au long du XIXème siècle, on va donc maintenir ce lien entre nation et État. Au XXème siècle, après la seconde guerre mondiale va apparaître un nouveau principe, qui est le droit des peuples à disposer d'eux même. Cette qualification visait surtout les États d'Afrique et d'Asie qui n'avait pas été décolonisé. Il s'agit principalement pour l'ONU et les États-Unis de pousser au maximum à une décolonisation des États mais les États européens n'ont pas tous été d'accord pour accorder ce nouveau droit et liberté, tout simplement l'indépendance des États qu'il contrôlait. [...]