Politique de la ville, historique, incidences, collectivités territoriales, services municipaux, médiateur de quartier, intercommunalités, CLSPD Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance, loi du 1er juillet 1901, DSQ Développement Social des Quartiers
Il y a une logique de gestion de projet (diagnostic, définir les besoins, définir les objectifs, les moyens mis à disposition du projet, mise en oeuvre, évaluation, réajustement, moduler les délais, revoir à la baisse) et un recrutement d'agents de développement, chargés de mission, chefs de projet dans les collectivités territoriales (CT). L'état prenait en charge le coût de la maitrise d'oeuvre urbaine et sociale y compris le chef de projet.
[...] La politique de la ville : historique et incidences I. Historique : la principale caractéristique de la politique de la ville est basée sur certains critères En 1977 : apparition de la politique de la ville dans le gouvernement de Raymond BARRE. « Il faut redonner âme et vie à nos quartiers les plus défavorisés ». En 1981, avec François Mitterrand : création de Zones d'Éducation Prioritaire (ZEP). À partir de cette date, la commission DUBEBOUT sur l'habitat est créée. En 1982 : les commissions BONNEMAISON sur la sécurité urbaine et la commission SCHWARTZ sur l'emploi des jeunes sont créées. [...]
[...] Tous les dispositifs sont mis en place pour la mixité sociale. E. Avec le monde associatif qui œuvre sur le terrain On est à cheval sur la politique de la ville et la démocratie participative. L'association est par ailleurs un lieu de concertation avec les autorités locales, dans une démocratie. L'association est l'un des contrepoids à la puissance publique. C'est pourquoi la crainte de voir l'association s'opposer au pouvoir public, qu'ils soient nationaux ou locaux, a dominé tous les régimes de l'empire à la 3e république. [...]
[...] 14/11/1996 : Pacte de Relance de la ville. Amener du commerce. Malgré l'intervention publique, la fracture sociale et la ségrégation urbaine n'ont fait que s'accroitre. Donc un comité des villes apporte une nouvelle approche : SRU Solidarité Renouvellement Urbain. Lancement d'ORU Opération Renouvellement Urbain et GPV (Grand Projet de Ville). En 2003 : concept de rénovation urbaine : BORLOT : logique de ne pas réparer, démolition des immeubles et reconstruction. Création de l'ANRU Agence Nationale de Rénovation Urbaine. En 2004 : apparitions du PLAN DE COHÉSION SOCIALE avec 3 piliers : le logement, l'emploi et l'égalité des chances. [...]
[...] Équipe de MOUS (Maitrise Œuvre Urbaine et Sociale). L'état prenait en charge le coût de la maitrise d'œuvre urbaine et sociale y compris le chef de projet. Il y a aussi l'apparition du guichet unique : un nouveau concept, la demande est prise en compte, il a trouvé l'interlocuteur qui étudiera son dossier. Un autre métier est apparu dans les CT : le médiateur de quartier (recruté par la commune avec des aides de l'état). Possibilités de désigner d'adjoint de quartiers sur une logique de territoires et plus de thématiques. [...]
[...] Les incidences de la politique de la ville en externe avec les partenaires et institutions A. Avec l'état et les services déconcentrés Avec les DSQ, on est sur la logique de contractualisation : contrats de ville signés entre l'état et les villes concernées, ils ont été signés par la suite entre les communes concernées, les intercommunalités et l'état (contrat d'agglomération). La participation financière de l'état était formalisée pour chaque action sur des lignes traditionnelles (jeunesse, sport,) abondée par des crédits spécifiques, politique de la ville, généralement il avait pour but d'aider au démarrage d'action nouvelle. [...]
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