Droits moraux, auteur, droits moraux inaliénables, droits moraux perpétuels, servitude perpétuelle, divulgation des oeuvres, régime dérogatoire, auteur d'un logiciel, respect de l'oeuvre
La catégorie des droits moraux est qualifiée par une partie de la doctrine comme étant des droits extra patrimoniaux. Pour l'autre partie de la doctrine, ce sont des droits transmissibles à cause de mort, il s'agit d'une servitude perpétuelle accordée à l'auteur et à ses ayants droits sur le concept attaché à l'oeuvre de l'esprit. On ne peut pas porter atteinte à l'oeuvre c'est à dire qu'on ne peut pas dénaturer l'oeuvre sans l'accord de son auteur, même si les droits patrimoniaux sont tombés dans le domaine public. Ces droits d'auteurs sont perpétuels inaliénables et imprescriptibles.
[...] 122-6) si cette modification ne porte pas atteinte à son honneur et à sa réputation. L'auteur ne peut exercer son droit de retrait et de repentir. Cela veut dire que s'il n'y a pas de stipulations particulières, l'auteur qui a cédé son logiciel ne peut pas exercer son droit de repentir ni son droit au respect de l'œuvre sauf s'il y a atteinte préjudiciable à son honneur et à sa réputation. Il ne peut pas protéger par le droit moral l'atteinte à son œuvre. [...]
[...] Les droits moraux attribués à l'auteur La catégorie des droits moraux est qualifiée par une partie de la doctrine comme étant des droits extrapatrimoniaux. Pour l'autre partie de la doctrine, ce sont des droits transmissibles à cause de mort, il s'agit d'une servitude perpétuelle accordée à l'auteur et à ses ayants droits sur le concept attaché à l'œuvre de l'esprit. On ne peut pas porter atteinte à l'œuvre c'est à dire qu'on ne peut pas dénaturer l'œuvre sans l'accord de son auteur, même si les droits patrimoniaux sont tombés dans le domaine public. [...]
[...] Un autre droit moral de l'auteur est celui de divulguer l'œuvre. L'auteur a le droit d'empêcher toute divulgation de ces œuvres. L'auteur jouit aussi d'un droit de repenti selon l'article L.121-4. Il ne faut pas confondre le droit de repentir sur le droit d'exploitation, et le droit de repentir sur l'objet de l'exploitation. L'auteur une fois qu'il a vendu un tableau, il n'a pas le droit de le reprendre, mais s'il a signé un contrat autorisant la reproduction du tableau il peut retirer ce droit au cessionnaire. [...]
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