Le terme copie vient du latin « copie » qui veut dire abondance. Le terme s'entend aussi comme une reproduction, un double de l'original. La copie qu'elle soit strictement identique ou non, impose un nombre à l'original : du fait de l'existence de la copie, l'original n'est plus unique.
La copie peut aussi s'entendre d'une contrefaçon si elle est le résultat d'une reproduction non autorisée d'une œuvre protégée.
Le terme privé vient du latin « privatus » signifiant individuel, personnel. Il s'emploie par opposition à « public » et renvoie à ce qui est non collectif, intime. Est donc privée ce qui n'est pas ouvert à tout public, qui n'intéresse pas le public.
[...] Il était donc impossible pour le consommateur de réaliser une copie privée des morceaux de l'album, ou même de l'écouter sur la platine de l'ordinateur. La multiplication de ce type de protection sur les disques n'a pas manqué de susciter des levées de boucliers chez les associations de consommateurs, qui ont dénoncé aussi bien le principe que la méthode. Dans le même temps, les nouveaux supports vierges et nouveaux appareils mis sur le marché se sont dotés de systèmes de protection similaires, visant non à interdire (puisque leur fonction est d'enregistrer), mais à limiter le nombre de copies. [...]
[...] l'article 37 de la loi Tunisienne n°94-36 du 24/02/1994, la loi Française du 3 juillet 1985. V. [...]
[...] Plus tard, l'arrivée sur le marché, du magnétoscope et de la cassette vidéo avait rendu possible la copie d'œuvres audiovisuelles à moindre coût. Cela dit, et même avec une diffusion plus large et moins coûteuse, la copie en était encore à l'ère de l'analogique[3]. Il faut dire que la reproduction analogique reste largement tributaire des lois de la physique, et dont les ondes sonores restent susceptibles d'être déformées du fait d'éventuelles irrégularités des mouvements mécaniques et susceptibles de capter certains parasites liés aux frottements de l'électro- aimant sur la banque magnétique. [...]
[...] La copie privée à l'ère du numérique Le terme copie vient du latin copie qui veut dire abondance. Le terme s'entend aussi comme une reproduction, un double de l'original. La copie qu'elle soit strictement identique ou non, impose un nombre à l'original : du fait de l'existence de la copie, l'original n'est plus unique. La copie peut aussi s'entendre d'une contrefaçon si elle est le résultat d'une reproduction non autorisée d'une œuvre protégée. Le terme privé vient du latin privatus signifiant individuel, personnel. [...]
[...] En France, depuis 1985, sur chaque achat de supports vierges ou de matériel servant à copier de la musique et des images (tels que des cassettes, CD ou DVD vierges, des baladeurs numériques, des clés USB, des enregistreurs numériques de salon, etc.), est prélevée une petite partie du prix payé (la redevance pour copie privée) qui sert à rémunère les auteurs, éditeurs, interprètes et producteurs des œuvres que ces supports permettent de copier[6]. Parallèlement à ce correctif, et sur l'initiative des grandes maisons de disques, un autre mécanisme tend à limiter techniquement et même à rendre impossible les reproductions de CD. [...]
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