droit, compagnie d'assurance, Droit de la sécurité sociale, cotisations sur les salaires, contribution fondamentale des nations unies
L'assurance sociale mérite quelques explications : il y a une personne ou une population qui est soumise un risque. Il y a un assureur qui doit pouvoir appliquer une protection. Les personnes qui sont soumises au risque vont transférer le risque à l'assureur et l'assureur va s'engager à verser les prestations lorsque le risque se produit. C'est un mode de protection très développé, très technique, il faut assumer les risques. On doit apprécier la population, et avoir des ressources. Nous avons utilisé en sécurité sociale des techniques d'assurances privées, mais on se rend compte qu'une compagnie d'assurance va exercer une activité commerciale, il faut donc tenir sur le plan financier, l'assureur privé va rechercher des bénéfices, et donc va préférer les bons risques
[...] Dans ces instruments, les Nations Unies ont reconnu dès 1948 pour chaque être humain le droit à la sécurité sociale. La communauté des Nations a accepté dès 1948 de reconnaitre à chaque être humain de la planète un droit à la sécurité sociale. C'est le grand enjeu, le grand défi que l'on a maintenant au 21e siècle, on veut rapprocher ces grands textes de principes et l'activité sur le terrain. Les Nations unies et l'OIT arrivent à la même conclusion. [...]
[...] L'évolution historique du Droit de la sécurité sociale L'évolution historique L'assurance sociale mérite quelques explications : il y a une personne ou une population qui est soumise un risque. Il y a un assureur qui doit pouvoir appliquer une protection. Les personnes qui sont soumises au risque vont transférer le risque à l'assureur et l'assureur va s'engager à verser les prestations lorsque le risque se produit. C'est un mode de protection très développé, très technique, il faut assumer les risques. [...]
[...] Cette commission a bien travaillé et mis au point un certain plan de sécurité sociale. On a voulu couvrir tout le monde, avec des prestations de soins préventives, de traitement, de la médecine ambulatoire ou hospitalière, des soins donnés par des généralistes ou des spécialistes. L'assurance sociale nationale Concrètement les Britanniques reprennent l'invention allemande et la développent. On a plus de moyens techniques qui ont été élaborés. Cette assurance sociale aura deux grands principes qui sont tous neufs. Le premier, c'est l'universalité. [...]
[...] Le plan Beveridge est un bestseller. C'est un immense espoir pour sortir les populations de la misère. Contributions britanniques et internationales majeures, qui émanent de l'organisation internationale du travail. En 1944, deux grandes recommandations, une sur les ressources, l'autre sur les besoins médicaux. Avec ces grands textes, l'organisation du travail fourni aux états de l'aide pour mettre en place un système de sécurité sociale. Toutes les populations ont leur propre génie. Dans chaque pays on doit pouvoir s'approprier les moyens. [...]
[...] Il faut inventer quelque chose avant que cela se termine mal. Le tandem à la fois de l'empereur et du chancelier qui propose au parlement et qu'il accepte les premières lois d'assurances sociales. Ce modèle, qu'est-ce qu'il a à nous dire ? Les Allemands trouvent ici quelque chose de génial. On reprend la technique de l'assurance privée, on lui donne la technique sociale, et on fait une affiliation obligatoire de par la loi. On est assuré de par la loi. [...]
Bibliographie, normes APA
Citez le doc consultéLecture en ligne
et sans publicité !Contenu vérifié
par notre comité de lecture