Criminologie, délinquance, crime, délit, droit pénal, Durkheim, Enrico Ferri, Cesare Lombroso, Etienne de Greef, déviance sociale, infraction, philosophie des Lumières, Beccaria, positivisme, suicide, abolitionnisme, victimologie, victimisation, protection des victimes, prévention des crimes et délits, récidive des infractions pénales, cybercriminalité, terrorisme, cyberterrorisme, lutte contre le terrorisme, régulation sociale, sanctions pénales, réinsertion sociale
Criminologie = sciences du phénomène criminel/science du crime.
- Très rattachée à la sociologie, car on s'intéresse aux comportements sociaux.
- Autant de conceptions de la criminologie que de criminologues : extrêmement large.
Droit pénal : crée des interdictions/discipline, dit ce qui doit être
Criminologie : discipline qui dit ce qui est, elle constate.
[...] Pour lui le criminel est un homme primitif, très proche du singe. 2. La défense sociale La politique criminelle doit se focaliser sur la défense de la société contre les criminels = Politique criminelle : choix qu'on fait de punir tel ou tel comportement. Il y a 15 ans, la politique criminelle était tournée vers la suppression des stupéfiants. Pour les positivistes, les punitions ne sont pas utiles, et sont assimilées à de la vengeance, ce n'est pas productif. Ils s'intéressent à l'avenir, pour défendre la société il faut éliminer le criminel. [...]
[...] Droit pénal a une fonction normative, il va créer les règles. 2 Tendances : - Criminologie = étude de la délinquance et des lois qui s'appliquent. - Criminologie = étude des mécanismes de l'action criminelle = traitement du délinquant et comment éviter la récidive. B. Le crime : élément fondateur de la criminologie - La notion de crime - Crime = infractions les plus graves à partir de 10 ans de prison jusqu'à la perpétuité (Viol, terrorisme?). - Délits = punis jusqu'à 10 ans de prison (Vol?). [...]
[...] C'est précisément là que se pose la question de la rationalité. Le délit est alors à la fois rationnel et irrationnel. - La rationalité du délit La rationalité par rapport à la personnalité du délinquant. Délinquant dits normaux ne sont pas de vrais malades mentaux. Les infractions contre les biens sont toujours réalisées par des délinquants qui sont rationnels, qui ont bien fait cette balance couts-bénéfice. Ils sont opportunistes. Délinquants dits anormaux vont souffrir de troubles de personnalité. Ils ont des troubles relationnels, ils sont mal intégrés dans la société, ils sont instables. [...]
[...] Les conditions à la régulation sociale Pour que les règles de groupe produisent des effets, il faut que la notion de groupe prenne tout son sens l'individu se sente pleinement intégré et il faut que les membres aient des rapports cohérents, soudés et des valeurs communes pour qu'il y ait plus d'impact. Le groupe doit faire en sorte que les règles aient une force suffisamment contraignante donc rien de plus efficace que la sanction sociale. stigmatisation / exclusion. La prévention développementale techniques éducationnelles qui vont essayer de répondre à un échec éventuel des parents. On veut combler les carences éducatives de façon pédagogue. [...]
[...] Ils sont persuadés que leur foi doit triompher sur tout et tout le monde. On a des terroristes qui sont donc intimement persuadés d'être dans leur bon droit. C'est pour ça qu'on les considère comme irrécupérables. Les gros attentats sont peu fréquents car on fonctionne par période. Si on prend l'exemple de la France on a eu toute une vague de terrorisme entre 1979 et 1987 et ensuite on a eu entre 1994 et 1995 et enfin entre 2014 et 2015. [...]
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