Aujourd'hui, le droit pénal est un droit très visible dans nos sociétés. Il s'exprime à travers des représentants et ainsi tout le monde a l'impression de le connaître.
Le procès pénal est un procès très particulier. Il n'est ni civil ni administratif. Le procès pénal est un procès entre l'État et un délinquant. L'État est le demandeur, un sujet actif du procès, tandis que le délinquant est le défendeur, le sujet passif, la défense. C'est l'ordre judiciaire qui va traiter ce procès. Il y a des règles d'ordre public dues à la présence de l'État (représenté par le procureur). De plus, il faut rajouter la présence, parfois, d'une 3e personne : la partie civile (= la victime). On peut remarquer que le droit pénal a toujours existé car le crime existe depuis des temps immémoriaux.
[...] B - Les méthodes complémentaires 1. Procédés directs Enquêtes menées directement auprès d'un panel de population afin d'interroger ce panel sur leur situation au regard du droit pénal. La question posée sera : avez-vous été victime dans les 5 dernières années d'un vol ? d'un acte de violence ? Avez-vous déposé plainte ? C'est un entretien totalement libre avec des gens qui composent un échantillon représentatif de la pop. Les sociologues, criminologues vont faire ces études ce qui assure les victime du secret ce qui permet de révéler ce que l'on n'aurait peut-être pas osé révéler à la police. [...]
[...] La psychiatrie criminelle est une discipline issue de la psychiatrie, mais qui permet de comprendre ce qui peut éventuellement pousser quelqu'un à devenir un criminel. La criminalistique est la science du procès pénal, c'est-à-dire que c'est l'utilisation de procédés scientifiques pour rechercher les infractions des criminels. Toutes ces disciplines font partie des sciences criminelles. L'approche fondée sur le droit pénal Le droit pénal est un ensemble de règles juridiques qui prévoit les modalités de réaction de l'État contre les infractions et contre les délinquants. Une infraction est une violation d'une norme pénale, c'est-à- dire l'accomplissement d'un acte interdit par la loi pénale. [...]
[...] Infractions révélées par l'action des services. Majoritairement trafics des stups et police des étrangers. En infractions de ce type, ce qui maintien à peu près à l'identique. La baisse globale s'explique donc par la baisse sensible des vols (notamment cambriolage) - Les statistiques judiciaires : établit annuellement par le ministère de la Justice, proviennent des chiffres donnés par les parquets de Cour d'Appel c'est a dire en fonction des affaires qu'ils ont eues à connaître et des suites de ces affaires. [...]
[...] Atteintes volontaires à l'intégrité physique : Jusqu'à il y a quelques années, ces atteintes étaient assez bien cernées par les services de police (violences de rue, meurtres, agressions sexuelles mais depuis quelques années on cherche à différencier la violence crapuleuse (motivation intéressée par exemple accompagnant le vol) et non crapuleuse (pas de but second). L'inquiétude se développe face à la violence, le crime gratuit. En France on a tendance à penser aux liens entre victime et agresseur (viols par une personne de l'entourage, etc. ) ce qui ne correspond pas à ce type de violence, c'est donc déstabilisant pas de mobile classique. [...]
[...] Ex : enquête de violences urbaines dites de proximité qui duré 7-8ans où l'on s'est aperçu que les gens révélaient qu'ils avaient été aussi bien victime qu'auteur Procédés indirects Menées par les compagnies d'assurances par exemple avec bilan des sinistres déclarés. Enquêtes sur le coût du crime, en fin d'année on pratique un bilan sur les budgets du fonctionnement des services de police et de la justice. Ce procédé permet de dire que si plus grandes dépenses peut être plus grande criminalité ou changement de criminalité. [...]
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