Criminologie - Histoire, définitions, principes

Extraits

[...] Il en existe peu, mais cristallise la peur. On peut distinguer trois types de terrorisme : le terrorisme à mobile indépendantiste ou autonomiste, le terrorisme d'extrême gauche à mobile anticapitaliste, le terrorisme international à mobile anti-occidental. Huitième catégorie : Les violences urbaines : feu aux voitures, émeutes, caillassage de voitures de police ou de pompiers. Il existe des poussées de violences urbaines la nuit de la Saint-Sylvestre. Neuvième catégorie : La criminalité informatique ou cybercriminalité : elles portent atteinte à la vie d'autrui, avec le vol de données bancaires, vol de données, menaces sur les personnes (harcèlement, menaces, injures). [...]

[...] Il existe une variante, ou les candidats peuvent choisir librement l'intensité de la décharge, seule une personne ira jusqu'à 450 V. Le délinquant est une personne ordinaire qui va se trouver dans des conditions particulières, cela veut dire au fond que nous tous des délinquants potentiels. Est-ce que les transgressions de la loi sont rares ou massives ? Commettre un délit de vitesse est une infraction très commune. L'enquête Bonnet de 2007 sur les salariés relève que 1/3 d'entre eux volent à leur employeur. La criminologie est une matière très discutée et est à la croisée de nombreuses matières. [...]

[...] Le profiler donne des indications et conseille pour appréhender le potentiel criminel. Paragraphe 2 : Exemple de profilage criminel : l'affaire des disparues de la gare de Perpignan Durant les années 1990, à Perpignan 4 jeunes femmes disparaissent dans le quartier de la gare. Une première Tatiana, a 17 ans quand elle disparait, le 24 septembre 1995, elle n'a jamais été retrouvée, mais vue à la gare en train de téléphoner et serait montée dans un, puis Mokhtaria a 19 ans, et retrouvée morte le 21 décembre 1997, retrouvée dénuée dans un terrain vague, sans poitrine a été prélevée ainsi que son appareil génital de façon quasi chirurgicale, Marie-Hélène ans, disparait le 16 juin 1998, elle aussi est retrouvée nue et son corps mutilé, elle a été violée, ses mains découpées, sa tête et son sexe également, d'ailleurs il est a noté que la tête et les mains ne sont pas sur la scène du crime. [...]

[...] En 1972, il commence ses meurtres, dans la région de Santa Cruz, et tue 6 jeunes femmes, généralement des auto-stoppeuses, Kemper n'a jamais eu de relation sexuelle, il les emmène dans sa voiture et des coins éloignés, les étrangle, ou leur tire dessus, et ramène leur tête en guise de trophée, il avoue aux experts qu'il l'interroge, qu'il a préparé une liste des caractéristiques de ses futures victimes, avec les caractéristiques physiques et morales. Sa mère va y passer, la tue et la décapite et dépose sa tête sur la cheminée et joue aux fléchettes, et à des rapports sexuels avec son cadavre. On en compte une cinquantaine dans les prisons françaises, répertoriées. [...]

[...] Cependant, c'est d'abord un profil psychologique : il ne ressent que peu d'affection, est amoral, fait le mal par plaisir, égocentrique. Ces pervers sont retrouvés en tant que chefs de bande criminelle. Les tueurs en série participent à cette perversion, et recherchent le plaisir sexuel au sens large du terme, ainsi que la domination de la victime Les pervers narcissiques Il aime jouer avec sa victime, il est manipulateur, a un pouvoir de séduction important : l'idée entant de détruire psychologiquement et moralement la personne cible. [...]